Ala Primavera. OĂč tu m’avais dit « je t’aime ». A la Primavera. J’avais quinze ans Ă  peine. La Primavera le printemps de ma vie en Italie. Il y avait mes frĂšres mon oncle LĂ©on. Tout le monde dansait avec le bandonĂ©on. Sous le ciel de Rome on Ă©tait si bien. Est-ce que tu t’en souviens.
Vous trouverez ici mes ressources et outils pour la petite enfance. Des outils pour vous faciliter la vie Ă  la maison, dans votre service de garde en milieu familial ou en installation. Pour des activitĂ©s, il faut regarder dans les diffĂ©rents dossiers selon les thĂšmes ou sujets. Mes petites victoires Ă  la toilette CrĂ©dit Blogue Ă  part Pis? YĂ©-tu propre? » est Ă©ventuellement la question que l’on se fait le plus souvent poser comme parent. Puis lĂ , on a cette fĂącheuse tendance Ă  se mettre la pression pour que Fiston rentre dans le moule des enfants-propres-avant-telle-Ăąge. Puis ce terme la propretĂ©, est-ce qu’on peut dire qu’il n’est pas si appropriĂ©? Ce n’est pas parce que ton enfant fait ses besoins dans une couche qu’il n’est pas propre comprendre qu’il est sale. Il n’a juste pas encore appris comment bien gĂ©rer ses sphincters parce que ça fait partie de son dĂ©veloppement. C’EST NORMAL, PAS SALE! Maiiiiiiiiis, il est possible aussi que, comme parent, tu en aies ras-le-bol de changer des couches been there done that de ton poupou de presque 3 ans. MĂȘme si on me l’a souvent demandĂ©, j’ai longtemps hĂ©sitĂ© avant de crĂ©er cet outil. Pour ĂȘtre passĂ©e par lĂ  3 fois avec mes enfants, j’ai fini par comprendre qu’il ne sert Ă  rien d’utiliser 150 mĂ©thodes si l’enfant n’est pas prĂȘt. Donc, si on a besoin d’un outil de motivation parce que notre progĂ©niture ne collabore pas Ă  notre goĂ»t, c’est peut-ĂȘtre juste qu’il n’est pas prĂȘt! Rappelle-toi que ce n’est pas TOI qui dĂ©cide quand ton enfant est prĂȘt Ă  dire adieu Ă  la couche, c’est lui! Je suis consciente, par contre, que certains ont peut-ĂȘtre besoin d’un petit coup de main cĂŽtĂ© motivation. J’ai moi-mĂȘme eu un enfant qui avait tendance Ă  oublier » d’aller aux toilettes quand il Ă©tait trop absorbĂ© par une activitĂ©. Ce genre d’outil peut servir dans ce genre de cas. Si jamais tes tentatives ne fonctionnent pas, ne t’acharne pas. Reporte le tout Ă  un autre moment. Il ne faut surtout pas que cette apprentissage soit perçue d’une façon nĂ©gative par ton coco. Aussi, parfois il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de consulter pour s’assurer que le problĂšme ne soit pas physiologique. Bref, Ă  utiliser si tu penses que ça peut aider Ă  motiver ton enfant et Ă  rendre l’évĂ©nement toilette ludique et amusant. Maiiiiis, ce n’est pas un gage de succĂšs! Par contre, la bonne nouvelle c’est que c’est gratuit! Alors la seule chose que tu as Ă  perdre, c’est la raison! Haha rire diabolique. Ben non, quand mĂȘme pas
 CrĂ©dit Blogue Ă  part Comment l’utiliser Imprime, plastifie et dĂ©coupe les petites images Ă  gauche. Appose des velcros double face sur le tableau et sur les pipis/cacas et sur la petite toilette. voir photo plus hautAppose une grande bande de velcro dans le bas pour entreposer les pipis/cacas non utilisĂ©s. voir photo plus hautInstalle le tableau Ă  la portĂ©e de l’ la petite toilette pour que l’enfant repĂšre facilement la journĂ©e de la des objectifs rĂ©alistes Ă  chaque semaine en les inscrivant au marqueur effaçable dans la case prĂ©vue Ă  cet effet ou Ă  chaque jour c’est correct mĂȘme si c’est Ă©crit semaine, ton enfant ne sait pas lire.CĂ©lĂšbre les petites victoires Ă  chaque jour! RĂ©compense Ă  la fin de la semaine si tu le souhaites. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Certificat en lien avec Mes petites victoires Ă  la toilette Certificat pour souligner les petites victoires. Pour le PDF, c’est ici. Les microbes Il paraĂźt que les microbes de toutes sortes sont de retour
 Voici donc une affiche Ă  complĂ©ter pour informer les parents des virus et autres microbes prĂ©sents dans vos services de garde. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Mes ca-ca-cartes Comme j’ai eu votre approbation dans mon groupe Partage de ressources gratuites pour parents, profs et Ă©ducatrices, voici mes ca-ca-cartes pour signifier aux parents que vous avez besoin de couches. J’en ai ajoutĂ© 3 pour les besoins en lingettes/crĂšmes et j’ai mis la grosse couche en double. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Je me prĂ©pare pour le prĂ©scolaire Pour aider vos cocos Ă  dĂ©velopper toutes les sphĂšres de leur dĂ©veloppement, voici une affiche reprĂ©sentant plusieurs activitĂ©s Ă  faire avec eux pour les prĂ©parer au merveilleux monde du prĂ©sco. À distribuer aux parents ou Ă  afficher dans votre service de garde. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Ma planification hebdo Voici un outil pour les Ă©ducateurs/Ă©ducatrices en garderie pour la planification de vos semaines. L’outil comprend une page couverture et un tableau de planification Ă  imprimer pour chaque semaine. Pour le PDF, c’est ici. Pour une version personnalisĂ©e de la couverture, Ă©crivez-moi sur Blogue Ă  part. Des frais s’appliqueront selon les modifications demandĂ©es. Mon petit cahier de communication Voici ma version dinos gratuite de Mon petit cahier de communication Ă  imprimer. Vous avez une version poupons et une version grands. CrĂ©dit Blogue Ă  part Pour une version personnalisĂ©e, Ă©crivez-moi sur Blogue Ă  part. Des frais s’appliqueront selon les modifications demandĂ©es. Pages communes aux 2 versions CrĂ©dit Blogue Ă  part Version poupons Pour le PDF, c’est ici. Si vous dĂ©sirez imprimer en recto verso, le PDF est ici. Vous devez imprimer en recto verso Ă  partir de la page 2. Il comprend 2 pages de plus. Ainsi, ces deux derniĂšres pages pourront ĂȘtre imprimĂ©es en recto verso autant de fois que vous le dĂ©sirez pour toutes les semaines de l’annĂ©e. Pour le PDF du semainier uniquement, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Version pour les grands Pour le PDF, c’est ici. Si vous dĂ©sirez imprimer en recto verso, le PDF est ici. Vous devez imprimer en recto verso Ă  partir de la page 2. Il comprend 1 page de plus. Ainsi, les pages 12 et 13 pourront ĂȘtre imprimĂ©es autant de fois que vous le dĂ©sirez pour toutes les semaines de l’annĂ©e. La page 12 imprimĂ©e seule servira aussi de derniĂšre page. Pour le PDF du semainier uniquement, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Version cactus Voici aussi gracieusement la version cactus. Elle comprend une page de plus que la version dinos une page lignĂ©e. Vous devrez aller chercher les semainiers poupons et/ou grands disponibles individuellement plus haut. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part MA ROUTINE À LA GARDERIE CrĂ©dit Blogue Ă  part L’ensemble comprend 1 tableau, 5 jours de la semaine et 36 pictogrammes de routine Ă  la garderie. Des pictogrammes plus gĂ©nĂ©raux et des pictogrammes pour des routines plus dĂ©taillĂ©es. Je vous recommande de dĂ©couper les pictogrammes Ă  l’intĂ©rieur de la ligne grise pour bien voir les cadres sur le tableau. Si vous choisissez d’illustrer vos routines avec beaucoup de dĂ©tails, je vous suggĂšre d’imprimer 2 tableaux ! Vous pourriez ainsi en utiliser un pour l’avant-midi et l’autre pour l’aprĂšs-midi. Pour le PDF, c’est ici. Pour la version PDF de Ma routine chez nounou, c’est ici. Pour la version PDF de Ma routine au CPE, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part LES PICTOS TABLEAU DES RESPONSABILITÉS Voici un tableau des responsabilitĂ©s pour la garderie. L’ensemble comprend 1 tableau vierge Ă  remplir selon vos besoins en responsabilitĂ©s, 1 tableau avec les 16 tĂąches/responsabilitĂ©s Ă  complĂ©ter avec le nom des enfants et 1 tableau avec les descriptions des 16 tĂąches/responsabilitĂ©s Ă  dĂ©couper ou Ă  afficher pour rĂ©fĂ©rence. Pour le PDF de l’ensemble complet, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part 2 OPTIONS DE TABLEAUX Vous avez l’option d’utiliser le tableau vierge pour y mettre les pictogrammes tĂąches dĂ©sirĂ©es que vous aurez dĂ©coupĂ©s sur la page de la description des pictogrammes. Ou bien vous pouvez utiliser le tableau avec responsabilitĂ©s et seulement indiquer le nom des enfants en bas. Un espace est prĂ©vu en haut pour indiquer le jour de la semaine. Voici 2 autres versions de tableaux pour les plus petits groupes Ă  utiliser avec les pictogrammes de responsabilitĂ©s plus haut. Pour le PDF de ma responsabilitĂ© du jour sur 2 pages Ă  mettre une sous l’autre, c’est ici. Dans cette version, vous pouvez mettre une photo de l’enfant dans le carrĂ© jaune ou simplement inscrire son prĂ©nom. Ensuite l’enfant avec son Ă©ducatrice peut choisir ou piger ses responsabilitĂ©s pour la semaine. Pour le PDF de la version de ma responsabilitĂ© aujourd’hui, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part LES CONSIGNES À LA GARDERIE Voici une affiche des principales consignes Ă  la garderie. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part D’AUTRES VERSIONS DISPONIBLES Pour le PDF des consignes Ă  l’école, c’est le PDF des consignes Ă  la maison, c’est le PDF des consignes au centre de loisirs, c’est le PDF des consignes chez Nounou, c’est le PDF des consignes au service de garde, c’est ici. LES VÊTEMENTS SELON LES SAISONS AUTOMNE L’ensemble Automne comprend 1 affiche sur les vĂȘtements nĂ©cessaires, 1 tableau pour la sĂ©quence d’habillage, 1 page de pictos 6 vĂȘtements et 3 consignes, 1 liste des vĂȘtements nĂ©cessaires Ă  la garderie, 1 page contenant 6 listes Ă  distribuer aux parents. Pour le PDF de l’ensemble AUTOMNE, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part HIVER L’ensemble Hiver comprend 1 affiche sur les vĂȘtements nĂ©cessaires, 1 tableau pour la sĂ©quence d’habillage, 1 page de pictos 6 vĂȘtements et 3 consignes, 1 liste des vĂȘtements nĂ©cessaires Ă  la garderie, 1 page contenant 6 listes Ă  distribuer aux parents. Pour le PDF de l’ensemble HIVER, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Vous retrouverez aussi une page pour changer l’image de l’éducatrice/maman pour qu’elle soit Ă  votre image perfectionniste de mĂȘme je l’sais ! . Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part PRINTEMPS L’ensemble Printemps comprend 1 affiche sur les vĂȘtements nĂ©cessaires, 1 tableau pour la sĂ©quence d’habillage, 1 page de pictos 6 vĂȘtements et 3 consignes, 1 liste des vĂȘtements nĂ©cessaires Ă  la garderie, 1 page contenant 6 listes Ă  distribuer aux parents. Pour le PDF de l’ensemble Printemps, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part ÉTÉ Comprend une affiche sur les vĂȘtements et accessoires d’étĂ©, un tableau pour la sĂ©quence d’habillage, une page de pictos, une liste Ă  complĂ©ter et Ă  afficher Ă  la garderie, une page de 6 listes Ă  distribuer aux parents. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part ÉTIQUETTES D’IDENTIFICATION POUR BACS On m’a demandĂ© des Ă©tiquettes pour identifier les bacs de jouets. Les voilĂ  ! Avec une page d’étiquettes vierges pour que vous puissiez en personnaliser. Pour la maison ou la garderie. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part ÉTIQUETTES THÉMATIQUES Voici 39 Ă©tiquettes + 3 vierges pour les thĂ©matiques les plus courantes au prĂ©scolaire et Ă  la garderie. Parfait pour identifier vos bacs de matĂ©riel. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part JOURS DE LA SEMAINE ILLUSTRÉS On m’a demandĂ© des Ă©tiquettes illustrĂ©es des jours de la semaine. Avec une image qui dĂ©bute par le mĂȘme son que le jour de la semaine, l’enfant peut facilement repĂ©rer le bon jour LUNdi-LUNe, MARdi-MARteau, MERcredi-MER, JEUdi-JEU, VENdredi-VENT, SAmedi-SAlopette, DImanche-DInosaure. Pour le PDF, c’est ici. Pour le PDF en version lettres majuscules capitales, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Affiches cour et parc Voici deux affiches que vous pouvez utiliser en recto verso pour communiquer aux parents de votre service de garde que vous ĂȘtes dans la cour ou au parc. Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Affiche en balade Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part Affiche sieste Pour le PDF, c’est ici. CrĂ©dit Blogue Ă  part CRÈME SOLAIRE Un gentil rappel illustrĂ©. Pour le PDF, c’est Blogue Ă  part ou en insĂ©rant les liens menant directement Ă  mon site web Merci de reconnaĂźtre le travail des crĂ©ateurs et crĂ©atrices en respectant les conditions d’utilisation de leurs documents/crĂ©ations. Abonnez-vous Ă  ma page Blogue Ă  part pour encore plus de contenu et Ă  mon groupe Partage de ressources gratuites pour parents, profs et Ă©ducatrices pour voir toutes mes nouvelles crĂ©ations en primeur.
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La chanteuse rĂ©aliste FrĂ©hel – interprĂšte de 180 chansons –, nĂ©e le 13 juillet 1891 et dĂ©cĂ©dĂ©e le 3 fĂ©vrier 1951, bĂ©nĂ©ficie cette annĂ©e d’un double anniversaire elle aurait eu 130 ans et elle nous a quittĂ©s il y a 70 ans. À l’occasion de la sĂ©rie de six Ă©missions de Tour de chant » de Martin PĂ©net sur France Musique[1] et de la lecture de la biographie FrĂ©hel de Nicole et Alain Lacombe 1990, revenons sur cette chanteuse Ă  la forte personnalitĂ© qui fascinait le public par sa voix et sa prĂ©sence, elle qui savait si bien chanter la nostalgie, la tristesse, la misĂšre, mais aussi faire valser les couples sur des airs de musette. Selon les tĂ©moins qui eurent la chance de voir FrĂ©hel sur scĂšne, les enregistrements rendent peu compte de son charisme. Dans la salle de concert, elle s’imposait face au public, il ne fallait pas moufter Fermez vos gueules, j’ouvre la mienne ! » C’était une fille de la rue, qui a connu la pauvretĂ© et qui Ă©tait dĂ©pourvue de bonnes maniĂšres. Parmi les chanteuses dites rĂ©alistes », FrĂ©hel ne cherchait pas Ă  crĂ©er un personnage elle Ă©tait spontanĂ©e, Ă  la ville comme Ă  la scĂšne. Les histoires de ses chansons – des mĂ©lodrames de filles perdues, des complaintes de filles-mĂšres, des amours de fortifs – reflĂštent sa vie empreinte de misĂšre, d’amours dĂ©laissĂ©es, d’excĂšs. L’enfance Originaires de Primel-TrĂ©gastel dans le FinistĂšre, ses parents se dĂ©barrassĂšrent rapidement de leur enfant Marguerite en la confiant Ă  la grand-mĂšre maternelle, plutĂŽt portĂ©e sur l’eau-de-vie. NĂ©e dans le XVIIe arrondissement de Paris, sur un boulevard de ceinture, Marguerite Boulc’h, aprĂšs cet exil breton, fut rĂ©cupĂ©rĂ©e cinq ans plus tard par ses parents qui s’installĂšrent Ă  Courbevoie, puis Ă  Levallois. La carriĂšre de la future FrĂ©hel commença dĂšs son arrivĂ©e perchĂ©e sur les tables des cafĂ©s, elle entonnait des succĂšs de l’époque. Les clients lui envoyaient des piĂšces, ce qui incitait sa mĂšre Ă  l’envoyer chanter jusqu’à deux ou trois heures du matin. Jolie Ă©ducation ! Le pĂšre, marin, puis aiguilleur au chemin de fer, profession qui lui coĂ»tera un bras aprĂšs avoir Ă©tĂ© happĂ© par une locomotive, comme la mĂšre, concierge de son Ă©tat, se dĂ©sintĂ©ressĂšrent de Marguerite. Celle-ci, nĂ©gligĂ©e dans tous les domaines, s’éleva seule [
] tout ce que je sais, c’est que j’attendais qu’il pleuve pour me frotter la figure avec la pluie et que je me lavais les pieds dans les ruisseaux de la rue », raconte FrĂ©hel en 1937 dans la Complainte de ma vie, une sĂ©rie d’articles pour Points de vue-Images du monde. L’école n’était pas au programme, puisqu’un enfant se devait, dans ce milieu misĂ©reux, de travailler le plus tĂŽt possible afin de ne pas ĂȘtre une charge. À neuf ans, on la retrouvait au turbin livreuse de boĂźtes Ă  sel dans les brasseries ; dĂ©marcheuse Ă  domicile de rĂ©novateurs faciaux », elle rencontra Ă  cette occasion la Belle OtĂ©ro, une danseuse espagnole et courtisane, cĂ©lĂ©britĂ© parisienne, qui l’a prise sous son aile. Les dĂ©buts À 14 ans, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exclue du domicile parental, elle obtint une audition Ă  l’Univers, une brasserie de l’avenue de Wagram, sous le nom de scĂšne de la MĂŽme Pervenche. Son interprĂ©tation fiĂ©vreuse de chansons de MontĂ©hus, un auteur anarchisant, fut concluante. Elle fut engagĂ©e par la suite Ă  la PĂ©piniĂšre, une salle dĂ©diĂ©e aux revues, spectacles qui associaient la chanson, la danse et la comĂ©die. Avant ou aprĂšs les numĂ©ros, FrĂ©hel entonnait des titres qui ne traversĂšrent pas le temps. Son entrĂ©e dans le mĂ©tier ne la sortit pas de la prĂ©caritĂ© elle se nourrissait de cafĂ© crĂšme et dormait sur les banquettes, dans les escaliers ou les arriĂšre-salles. AprĂšs un mariage avec un jeune comĂ©dien, Robert Hollard dit Roberty, en 1907, Ă  l’ñge de 16 ans, elle quitta les banquettes. Mais ce fut de courte durĂ©e, Ă©tant donnĂ© qu’elle Ă©prouvait le besoin de libertĂ©. Pourtant son mari, bon bougre, lui enseignait la diction et lui proposa un nom de scĂšne FrĂ©hel, qui faisait rĂ©fĂ©rence au cap breton. Encore mariĂ©e, FrĂ©hel devint en 1910 la maĂźtresse de Maurice Chevalier, jeune chanteur Ă  la cĂ©lĂ©britĂ© naissante, pendant que Roberty filait le parfait amour avec Damia, une collĂšgue de sa femme. Tout le monde trouvait son compte ! Cet amour passionnel d’un an fut Ă©lectrique entre FrĂ©hel et Chevallier. Celui-ci, qui ne supportait pas la vie dissolue que FrĂ©hel lui proposait, finit par la quitter pour Mistinguett. Depuis 1910, FrĂ©hel Ă©tait devenue une vedette, rĂ©clamĂ©e par les boĂźtes de Montmartre et des boulevards. Elle frĂ©quentait la haute sociĂ©tĂ© qui venait s’encanailler dans ces lieux de plaisir, ses amants Ă©taient des princes, de grands bourgeois europĂ©ens, un futur prĂ©sident d’Argentine
 des boxeurs. Sous l’effet de la cocaĂŻne et de l’éther, elle manquait de respect aux plus hautes personnalitĂ©s qui s’en amusaient. A l’étranger Au dĂ©but de 1914, FrĂ©hel fut cornaquĂ©e par la grande-duchesse russe Anastasia, la cousine de Nicolas II, qui Ă©tait captivĂ©e par cette femme Ă©mouvante qui pleurait comme une madeleine avant de lancer des saillies piquantes. Elle accepta de bon cƓur un tour de chant Ă  Saint-PĂ©tersbourg. Les nuits blanches pĂ©tersbourgeoises l’étonnĂšrent La ribouldingue que j’avais connue Ă  Montmartre faisait figure de bal donnĂ© au chef-lieu du canton en l’honneur de la rosiĂšre. » La Grande Guerre mit un terme Ă  son sĂ©jour et aux bacchanales. Pour une ultime fĂȘte, tous les grands-ducs Ă©taient rĂ©unis pour Ă©couter FrĂ©hel Boris, Dimitri, Cyril, Serge, Michel. Quel succĂšs mondain pour une fille de la rue ! Pour FrĂ©hel, la guerre se passa en Roumanie. L’amour pour un bel et jeune officier commença dans la joie et se termina dans le dĂ©sespoir quand il fut tuĂ© sur le front en 1916. AprĂšs l’armistice, elle s’installa Ă  Constantinople oĂč elle resta cinq ans. Cette ville Ă©tait une zone libre oĂč tous les trafics Ă©taient possibles. Comme la coco » coulait Ă  flots, elle ne s’en priva pas pour anesthĂ©sier ses malheurs. Dans les vapes en permanence, elle passait d’amant en amant, des militaires, car elle aimait l’uniforme. En 1923, elle Ă©tait devenue une Ă©pave, vieillie avant l’ñge, quand l’ambassade la rapatria en France sur un paquebot. Retour Ă  Paname Paris au dĂ©but des annĂ©es vingt avait changĂ©. Le cinĂ©ma s’imposait dans la culture populaire et devenait attirant depuis que les films amĂ©ricains se rĂ©pandaient en Europe ; le music-hall s’était transformĂ© aussi avec l’apparition de rythmes dansants venus d’outre-Atlantique ; la TSF nouvellement apparue diffusait la musique dans les intĂ©rieurs tout comme les disques 78-tours qui devenaient un objet de consommation ; le microphone soutenait la voix du chanteur lors des rĂ©citals les conditions techniques changeaient et il fallait s’adapter. Elle, FrĂ©hel, n’en avait cure et continua de chanter, sans micro. DĂšs son retour Ă  Paname, FrĂ©hel se produisit dans des cabarets et des restaurants pour se chauffer » avant d’effectuer sa rentrĂ©e Ă  l’Olympia, aprĂšs dix ans d’absence. Son directeur, Paul Franck, crĂ©a le slogan restĂ© attachĂ© Ă  l’artiste L’inoubliable inoubliĂ©e ». Si le public Ă©tait dans ces annĂ©es vingt friand de renouvellement, il Ă©tait aussi curieux de revoir la mythique FrĂ©hel. À l’Olympia, elle replaça ses anciennes chansons, tout en introduisant dans son tour de chant des nouveautĂ©s comme Du gris Du gris que l’on prend dans ses doigts / Et qu’on roule / C’est fort, c’est Ăącre comme du bois / ça vous saoule ». Cette chanson avait Ă©tĂ© créée en 1920 par Berthe Sylva, puis reprise par une plĂ©iade d’artistes. Comme le remarquent Nicole et Alain Lacombe dans leur biographie, Une chanson dans les annĂ©es vingt Ă©tait rarement la propriĂ©tĂ© d’un seul chanteur. » L’Olympia fut un triomphe et FrĂ©hel revint aux affaires. CinĂ©ma À la fin des annĂ©es vingt, FrĂ©hel renouvela son rĂ©pertoire et l’étendit avec des chansons aux thĂšmes traditionnels Comme un moineau, La zone, La chanson des fortifs, des musettes La java bleue, des nostalgiques J’ai l’cafard, Comme une fleur, OĂč sont mes amants, des autoportraits La coco, À la dĂ©rive, Dans la rue et humoristiques La mĂŽme caoutchouc, Tel qu’il est, La mĂŽme catch-catch. C’est grĂące au cinĂ©ma que nous conservons l’image de FrĂ©hel en situation. Les mains sur les hanches face Ă  son public, sa gestuelle Ă©tait rĂ©duite, mais l’émotion passait par la voix et les expressions du visage. Dans les annĂ©es trente, les cinĂ©astes firent appel Ă  ses services pour son physique atypique, loin du glamour ambiant. Les personnages qu’elle incarnait Ă©taient en adĂ©quation avec sa vie de chanteuse de goualante. Sur sa vingtaine de films, demeure PĂ©pĂ© le Moko 1936 de Julien Duvivier avec Jean Gabin et Mireille Balin. FrĂ©hel joue le rĂŽle de Tania, une chanteuse oubliĂ©e exilĂ©e dans la casbah d’Alger Quand j’ai trop le cafard, je change d’époque », dit-elle Ă  PĂ©pĂ© » en Ă©coutant sur un phonogramme OĂč est-il donc ? de 1926, une de ses chansons les plus cĂ©lĂšbres et Ă©mouvantes qui exprime la nostalgie du Paris de sa jeunesse. Autant dire que FrĂ©hel et cette chanson font corps OĂč est-il mon moulin de la place Blanche ? / Mon tabac et mon bistro du coin ? / Tous les jours Ă©taient pour moi dimanche ! / OĂč sont-ils les amis, les copains ? / OĂč sont-ils tous mes vieux bals musette ? / Leurs javas au son de l’accordĂ©on ? / OĂč sont-ils tous mes repas sans galette ? / Avec un cornet de frites Ă  dix ronds / OĂč sont-ils donc ? » Dans les annĂ©es quarante, FrĂ©hel continua son mĂ©tier en France occupĂ©e et fit des tournĂ©es en Allemagne pour les prisonniers et les travailleurs STO. À la LibĂ©ration, elle aura quelques ennuis, sans gravitĂ©. L’aprĂšs-guerre fut son chant du cygne, dans la mesure oĂč elle Ă©tait passĂ©e de mode, mĂȘme si elle ne l’avait jamais Ă©tĂ©. La consommation constante d’alcool ne l’aida pas Ă  renouer avec le succĂšs. Les derniĂšres annĂ©es, le corps fatiguĂ©, elle subsista en chantant, en attraction, dans les cinĂ©mas de quartier. En 1951, elle meurt dans un hĂŽtel de Pigalle Ă  l’ñge de cinquante-neuf ans. Bien que FrĂ©hel n’ait pas eu la carriĂšre internationale d’Édith Piaf, elle est restĂ©e dans les mĂ©moires une chanteuse sincĂšre et naturelle. Didier Sailllier Octobre 2021 Nicole et Alain Lacombe, FrĂ©hel, Éditions Belfond, coll. Voix », 1990, 309 p. [1] L’émission Tour de chant », consacrĂ©e Ă  la chanson, est diffusĂ©e le dimanche de 12 h 30 Ă  13 heures. Les six Ă©missions sur FrĂ©hel, qui ont Ă©tĂ© diffusĂ©es du 9 mai au 20 juin 2021, sont Ă  réécouter sur le site de France Musique. Lien du premier volet Photo FrĂ©hel, annĂ©es 1930. Gamma-Keystone © GettyImages. Anecdotes racontĂ©es par FrĂ©hel FrĂ©hel, Ă  16 ans, est invitĂ©e Ă  dĂźner chez Mollard Brasserie cĂ©lĂšbre de la rue Saint-Lazare par le baron Camille de Lillers AprĂšs [avoir mangĂ© des huitres] on nous a donnĂ© un bol avec un rond de citron qui faisait la planche. Moi qui toussais, j’ai jugĂ© l’attention dĂ©licate de la part du baron. J’ai bien trouvĂ© que mon grog manquait d’alcool, mais pour ne pas faire de peine au baron, je l’ai bu jusqu’au bout. Il a eu l’air gĂȘnĂ© et je ne l’ai jamais revu. Il a dĂ» retourner aux poseuses qu’il avait l’habitude de frĂ©quenter. OĂč avais-je appris, moi, l’usage d’un rince-bouche ? » À 19 ans, FrĂ©hel chante Ă  l’Abbaye et Albert Volterra son directeur la prĂ©vient de chanter des chansons correctes car le prince Antonio de MontĂ©nĂ©gro allait venir incognito. FrĂ©hel – qui ne connaĂźt pas le sens du mot incognito – s’attend Ă  voir venir un prince de haute stature en manteau d’hermine avec une couronne sur la tĂȘte ». Elle ne voit personne de ce genre, alors elle chante La Petite Bonne Femme aux paroles salaces. Albert Volterra est furieux — Tu es virĂ©e, me dit-il entre ses dents, tu peux faire tes paquets, c’est le dernier soir que tu chantes ici. — De quoi, de quoi, je lui dis. Qu’est-ce qui te prend ? — Parle moins fort. Tu sais ce que tu m’avais promis pour le prince. Tu t’es foutue de moi. — Un prince oĂč vois-tu un prince ? OĂč qu’il est ton prince ? — C’est moi, mademoiselle, dit quelqu’un non loin de moi. Je regarde avec stupĂ©faction un gros bonhomme qui avait une tache de vin sur la figure, en veston, le col couvert de pellicules. La colĂšre m’a prise d’un coup. VirĂ©e pour virĂ©e, il m’en fallait pour mon argent. Et puis, quand j’ai quelque chose Ă  dire, il faut que ça parte ; on ne me changera pas. — Vous n’ĂȘtes qu’un dĂ©gueulasse, fais-je au prince. Je ne sais pas au juste de quoi vous ĂȘtes roi, mais vous seriez le roi des c
 que je n’en serais pas Ă©patĂ©e. » Entre 1911 et 1914 J’engueulais le client et je n’y allais pas de main morte, je vous prie de le croire. Un jour, j’ai collĂ© Ă  un Rothschild, qui m’avait donnĂ© quarante ronds Ă  ma quĂȘte, sa piĂšce sur le crĂąne, en lui disant — Tout ce qui brille n’est pas or, mon petit lapin ! » Au printemps 1914, Ă  Saint-PĂ©tersbourg, FrĂ©hel chantait chez les frĂšres Alexandrov Ă  l’Aquarium. La violence scandait la vie de la capitale. Un souvenir de FrĂ©hel Germaine Fabiani, trĂšs fĂȘtĂ©e en Russie Ă  ce moment-lĂ , avait pour amant un trĂšs grand personnage de l’armĂ©e et de la cour, que je ne peux nommer. Homme superbe de prestance et de force, il devenait dans l’ivresse d’une violence sauvage. Quand entrait Germaine Fabiani, il voulait que tous les orchestres se taisent pour ne plus jouer, tant qu’elle Ă©tait lĂ , que les chansons de Fabiani. Une nuit, un chef d’orchestre, un nouveau, refusa d’interrompre son morceau. Je vois encore l’autre se lever dans son uniforme de la Garde, bleu avec un lisĂ©rĂ© rouge, je revois l’éclair d’un sabre, et le malheureux musicien s’écroulant, la tĂȘte tranchĂ©e. Il y eut un remous, un ou deux cris ; un autre orchestre attaqua immĂ©diatement, des bouchons de champagne sautĂšrent. DĂ©jĂ  Nicolas Glass [le chef des maĂźtres d’hĂŽtel] avait fait enlever le cadavre et sa tĂȘte, nettoyer le sang. La fĂȘte continuait Glass s’est sans doute contentĂ© de faire figurer l’infortunĂ© chef d’orchestre sur la note. » FrĂ©hel est Ă  Bucarest aprĂšs la dĂ©claration de guerre de 1914. La future Marie de Roumanie s’amusait de la gouaille de FrĂ©hel. On disait dans les salons de Bucarest qu’elle Ă©tait si parisienne, si française. AprĂšs le concert, il y eut bal. La princesse autour de qui on faisait cercle, me fit signe d’approcher. — Que puis-je faire pour vous ĂȘtre agrĂ©able, mademoiselle ? me dit-elle. Quelle belle prestance, quel port vraiment royal elle avait, ainsi debout ! Une croix en brillants Ă©tait le bijou qu’elle portait. — Elle est belle, dis-je en regardant la croix. Quel est le maquereau qui vous a donnĂ© cela ? Elle sourit, montrant ses dents qui sont belles et fortes. — Le prince, mon Ă©poux, dit-elle. Et regardant malicieusement le petit mĂ©daillon qui pendait Ă  mon cou — Je vous la donne, ajouta-t-elle, en Ă©change de votre mĂ©daillon [donnĂ© par le jeune et bel officier roumain EugĂšne Diamandescu, amant de FrĂ©hel.] — Ah non, fis-je vivement. La princesse accentua son sourire — C’est Ă  cause de ce qu’il y a dedans n’est-ce pas ? Je connais votre secret. Je sais que vous aimez la Roumanie et les Roumains. Vous avez en moi une amie. » Souvenirs de Maurice Chevallier FrĂ©hel Ă©tait une des plus jolies femmes de Paris. En fait de plaisanteries, elle se permettait tout, et on lui pardonnait. C’est ainsi qu’un soir, s’adressant Ă  une reine — Eh bien, ma vieille, tu ne crois pas que ton collier irait mieux sur mon cou que sur le tien ? — Quand vous aurez mon Ăąge, vous en aurez peut-ĂȘtre un, rĂ©pondit la reine en souriant. — Tu as raison, je ne suis pas encore assez moche pour avoir des bijoux. » TĂ©moignage d’une danseuse Un aprĂšs-midi de 1938, au mĂ©tro Anvers, je suis tombĂ© en arrĂȘt devant une grande femme, probablement soĂ»le, affaissĂ©e au pied d’un arbre. Un car de police s’est bientĂŽt arrĂȘtĂ© pour embarquer cette pocharde. Mais elle a fait face aux fics. Elle leur a hurlĂ© “Foute-moi la paix, je suis FrĂ©hel, oui FrĂ©hel la chanteuse.” C’était bien elle, en effet, mais les agents refusaient de la reconnaĂźtre. Je suis allĂ© les trouver. Je leur ai dit “Vous ne pouvez pas embarquer notre grande FrĂ©hel.” Ils ont hĂ©sitĂ© un instant et j’ai pu glisser Ă  l’oreille de la malheureuse “Chantez, madame, je vous en prie, chantez !” Alors, les mains sur les hanches, les jambes Ă©cartĂ©es, dessoĂ»lĂ©e comme par enchantement, elle a entamĂ© La Java bleue avec autant de force, autant de fougue qu’au temps oĂč les foules l’acclamaient. AussitĂŽt, les badauds se sont pressĂ©s autour de leur ancienne idole, stupĂ©faits d’ĂȘtre les tĂ©moins de cet authentique miracle. Un brigadier a murmurĂ© “Comme c’est triste de finir ainsi !” Puis il a rappelĂ© ses hommes et le panier Ă  salade est reparti Ă  vide. » Anecdotes tirĂ©es de la biographie FrĂ©hel de Nicole et Alain Lacombe.
Chantait chantait une chanson que répétaient deux autres compagnons Marjolaine, toi si jolie, Marjolaine, le printemps fleurit Marjolaine, j'étais soldat mais aujourd'hui, je reviens prÚs de toi Tu m'avais dit "Je t'attendrai", je t'avais dit "Je reviendrai" J'étais parti encore enfant, suis revenu un homme maintenant
InterprĂšte Bourvil 1 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumĂ© de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprĂšs de moi PrĂšs de la riviĂšre OĂč notre chaumiĂšre Bat comme un coeur plein de joie. 2 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Mais dans mes bras quelqu'un d'autre que toi Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprĂšs de moi L'eau de la riviĂšre Fleure la bruyĂšre Et ton sommeil est Ă  moi. 3 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumĂ© de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Toi, mon enfant, tu es lĂ  ! Toi, mon enfant, tu es lĂ  ! BALLADE NORD IRLANDAISE BALLADE NORD IRLANDAISE Renaud SĂ©chan - Renaud - 1991 J'ai voulu planter un oranger LĂ  oĂč la chanson n'en verra jamais LĂ  oĂč les arbres n'ont jamais donnĂ© Que des grenades dĂ©goupillĂ©es Jusqu'Ă  Derry ma bien aimĂ©e Sur mon bateau j'ai naviguĂ© J'ai dit aux hommes qui se battaient Je viens planter un oranger Buvons un verre, allons pĂȘcher Pas une guerre ne pourra durer Lorsque la biĂšre et l'amitiĂ© Et la musique nous feront chanter Tuez vos dieux Ă  tout jamais Sans aucune croix l'amour ne se plaĂźt Ce sont les hommes pas les curĂ©s Qui font pousser les orangers Je voulais planter un oranger LĂ  oĂč la chanson n'en verra jamais Il a fleuri et il a donnĂ© Les fruits sucrĂ©s de la libertĂ© BALS POPULAIRES LES LES BALS POPULAIRES Michel Sardou , annĂ©es 70/80 Dans les bals populaires L'ouvrier parisien La casquette en arriĂšre, Tourne, tourne, tourne bien Dans les bals populaires Les Rachel du samedi Du bleu sur les paupiĂšres Tournent, tournent, tournent aussi REFRAIN Mais lĂ -bas, prĂšs du comptoir en bois Nous on danse pas. On est lĂ  pour boire un coup, On est lĂ  pour faire les fous Et pour se reboire un coup Et pas payer nos verres. Pour boire un coup Et j' dirais mĂȘme un bon coup Et rigoler entre nous Sur des airs populaires bis 2 Dans les bals populaires Quand l'accordĂ©on joue Le tango des grand-mĂšres Elles dansent entre elles et l'on s'en fout Dans les bals populaires On chante un peu c'qu'on veut Moins on fait de maniĂšre Et plus ça tourne, tourne mieux AU REFRAIN Dans les bals populaires3 Chacun veut sa chanson L'orchestre joue ce qu'il sait faire Ça tourne, tourne, plus ou moins rond Dans les bals populaires Quand le barman s'endort MĂȘme aprĂšs la derniĂšre Ça tourne,tourne, tourne encor' AU REFRAIN BAMBINO BAMBINO Les yeux battus la mine triste , et les joues blĂȘmes Tu ne dors plus, Tu n'es plus que l'ombre de toi-mĂȘme Seul dans la rue tu rĂŽdes, comme une Ăąme en peine Et tous les soirs sous sa fenĂȘtre, on peut te voir Je sais bien que tu l'adores Bambino Bambino Et qu'elle a de jolies yeux Bambino Bambino Mais tu es trop jeune encore Bambino Bambino Pour jouer les amoureux Et gratte, gratte sur ta mandoline Mon petit Bambino Ta musique est plus jolie Que tout le ciel de l'Italie Et canta, canta de ta voix cĂąline Mon petit Bambino Tu peux chanter tant que tu veux Elle ne te prend pas au sĂ©rieux Avec tes cheveux si blonds Bambino Bambino Tu as l'air d'un chĂ©rubin Bambino Bambino Va plutĂŽt jouer au ballon Bambino Bambino Comme font tous les gamins BARCAROLE DES CONTES D'HOFFMAN BARCAROLLE DES CONTES D'HOFFMANN - Offenbach - 1880 - AltĂ©ry Belle nuit Oh nuit d'amour Souris Ă  nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Le temps fuit et sans retour Emporte nos tendresses Loin de cet heureux sĂ©jour Le temps fuit sans retour ZĂ©phyrs embrasĂ©s Bercez-nous de vos caresses ZĂ©phyrs embrasĂ©s Bercez-nous de vos caresses Donnez-nous vos baisers Bercez-nous De vos baisers Bercez-nous De vos baisers Belle nuit Oh nuit d'amour Souris Ă  nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Oh belle nuit d'amour Souris Ă  nos ivresses Souris Ă  nos ivresses Nuit d'amour Belle nuit Oh belle nuit d'amour BASTILLE À LA À LA BASTILLE REFRAIN À la Bastille, on l’aime bien, Lily peau d’chien, Elle est si belle et si gentille, On l’aime bien. Qui ça ? On l’aime bien, Qui ça ? À la Bastille ! 1. Quand elle Ă©tait petite, le soir elle allait À Sainte Marguerite, oĂč qu’elle s’ dessalait. Maint’nant qu’elle est grande, elle marche le soir Avec ceux d’la bande, rue Richard Lenoir ! 2. Elle Ă  la peau douce, aux tĂąches de sang, À l’odeur de rousse qui donne le frisson Et de sa prunelle, au ton vert de gris L’amour Ă©tincelle, dans ses yeux d’souris ! 3. Quand le soleil brille, dans ses cheveux roux D’la Bastille lui fait les yeux doux Et quand elle s’promĂšne, du bout d’ l’arsenal Tout l’quartier s’amĂšne au pont du canal ! BATEAU DE PECHE LE LE BATEAU DE PÈCHE AndrĂ© Homez - Paul Misraki C’était un petit, tout petit voilier, Un petit bateau de pĂȘche. On l’avait bĂąti d’un bout de papier Et d’un vieux noyau de pĂȘche. Dans un petit port entre deux roseaux, On l’avait mis Ă  l’amarre Il appareillait dĂšs qu’il faisait beau. Pour naviguer sur la mare. Mais un jour, Le petit bateau fit un rĂȘve À son tour, Il voulut entreprendre un voyage au long cours Alors il s’en fut magnifiquement Tout lĂ -bas vers les tropiques, La vie qu’il menait lui donnait vraiment Des idĂ©es misanthropiques. En l’apercevant chaque nĂ©nuphar Craignait qu’un malheur n’arrive, Et le ver luisant qui servait de phare Lui criait “Rejoins la rive”. Mais il rĂ©pondit d’un air malsĂ©ant “Je ne crains pas les dĂ©boires, Aussi bien le fleuve et les ocĂ©ans Ce n’est pas la mer Ă  boire ! Quel plaisir De voguer ainsi sur les ondes, Quel plaisir De pouvoir naviguer au grĂ© de son dĂ©sir ! Le ciel est tout bleu et le vent lĂ©ger Tous ces braves gens divaguent Je me moque bien d’ailleurs du danger Car je n’ai pas peur des vagues”. Il ne savait pas qu’à cĂŽtĂ© de lui Un canard faisait trempette ; Pour notre bateau qui Ă©tait si petit Cela fit une tempĂȘte. Et rapidement, je vous en rĂ©ponds, Les Ă©vĂ©nements se gĂątent 36 /265 L’eau s’est engouffrĂ©e dans les entreponts Adieu la jolie frĂ©gate. “Sauve-qui-peut !” Criait le navire en dĂ©tresse, “Sauve-qui-peut Je ne vais plus jamais revoir le beau ciel bleu”. BEAU LA VIE C'EST C'EST BEAU LA VIE Delecluse, Senlis, - Jean Ferrat Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil Ă  l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre dĂ©jĂ  roux Et son cri par-dessus tout Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j'ai cru trop vite À jamais perdu pour moi Pouvoir encore regarder Pouvoir encore Ă©couter Et surtout pouvoir chanter Que c'est beau, c'est beau la vie Le jazz ouvert dans la nuit Sa trompette qui nous suit Dans une rue de Paris Que c'est beau, c'est beau la vie La rouge fleur Ă©clatĂ©e D'un nĂ©on qui fait trembler Nos deux ombres Ă©tonnĂ©es Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce que j'ai failli perdre Tout ce qui m'est redonnĂ© Aujourd'hui me monte aux lĂšvres En cette fin de journĂ©e Pouvoir encore partager Ma jeunesse, mes idĂ©es Avec l'amour retrouvĂ© Que c'est beau, c'est beau la vie Pouvoir encore te parler Pouvoir encore t'embrasser Te le dire et le chanter Oui c'est beau, c'est beau la vie BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS LES LES BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS Paroles Jean Laurent - Musique Gaston Gabaroche 1934 - InterprĂšte RĂ©da Caire - 1 - Non chantĂ© ici Comme je t'aimais, comme on s'aimait J'Ă©tais alors encore enfant Et dans la vie gaiement j'allais Le coeur lĂ©ger comme le printemps Les fleurs des champs et les prĂ©s verts Dont le parfum vous ennivrait Étaient pour moi tout l'univers Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă  Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'embrassait Ă  chaque instant Quand on allait Ă  Robinson Les beaux dimanches de printemps. 2 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Et puis le soir je me souviens Sous les guinguettes, comme on chantait Le coeur bercĂ© de doux refrains J'Ă©tais grisĂ© de mon bonheur GrisĂ© d'air pur et l'on rentrait Les bras chargĂ©s de jolies fleurs Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă  Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'bĂ©cotait Ă  chaque instant Quand on allait Ă  Robinson Les beaux dimanches de printemps. 3 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Mais ce beau temps est bien passĂ© Sans un baiser, d'un air distrait, Tu m' dis adieu, toujours pressĂ©e Alors je vis du souvenir Des soirs d'Ă©tĂ© oĂč l'on faisait Des rĂȘves fous pour l'avenir Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă  Robinson Comme il est loin ce joli temps OĂč je chantais comme un pinson J'ignorais toutes les trahisons La jalousie, la voix qui ment Quand on allait Ă  Robinson Les beaux dimanches de printemps. BÉCASSINE IS MY COUSINE BÉCASSINE IS MY COUSINE Chantal Goya Elle est nĂ©e un beau matin dans un berceau de bois Son pĂšre et sa mĂšre n'en revenaient pas De voir cet enfant rose dodue Ă  la fois Avec un nez qu'on ne voyait pas AussitĂŽt le village se prĂ©parait dĂ©jĂ  Pour venir fĂȘter ce baptĂȘme, mais voilĂ  Il fallait un nom, elle n'en avait pas Mais son papa qui se trouvait lĂ  A dit "puisqu'elle ira en classe, A Clocher les BĂ©casses Moi j'ai trouvĂ© comment il faut l'appeler" REFRAIN 1 BĂ©cassine, c'est ma cousine BĂ©cassine, on est voisine Quand je m'en vais voir ma grand-mĂšre Qui habite au bord de la mer Je retrouve ma BĂ©cassine Qui m'emmĂšne au bout de la terre BĂ©cassine, c'est ma cousine BĂ©cassine, eh lĂ  cousine ! Marie-qui-louche m'amuse beaucoup Ensemble on fait les quatre cents coups BĂ©cassine, tu nous rends fous Un soir BĂ©cassine est parti pour le pensionnat Aider les enfants pour les vacances Ă  Etretat Je m'ennuyais d'elle, on s'Ă©crivait, oui mais voilĂ  Ce n'Ă©tait plus du tout comme autrefois Quand je partais avec elle Ă  la ville, dans son automobile Dans son avion, faire des loopings au-dessus des Ăźles REFRAIN 2 x3} Becassine is my cousine, Becassine is my voisine Oh when I'm feel I'm getting high I like dancing all the night, I find again my Becassine and all together we get high BÉLINDA BÉLINDA Claude François Il faut que je vous chante pour oublier Une Ă©toile filante qui m'a quittĂ© Vous pouvez m'aidez Ă  la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Ça fait dix fois qu'elle s'en va et qu'elle revient C'est elle qui fait mon cƓur et qui dĂ©fait mon cƓur de ses mains Si vous la voyer Vous la reconnaitrez Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Je devrais en avoir l'habitude Et l'attendre comme je l'ai fait souvent Mais j'entends crier ma solitude Je l'appelle et ma voix tombe dans le vent Elle est dans mon sommeil comme une fleur Un soleil sans soleil et sans chaleur Vous pouvez m'aider Ă  la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda BELLA RAGAZZINA BELLA RAGAZZINA Paroles G. Koger, H. Vendresse Musique Vincent Scotto InterprĂšte Tino Rossi 1936 1 -ChĂ©rie, tu m'avais promis tes caresses C'est pourquoi plein d'espoir Dans l'ombre je viens ce soir Il ne faut pas oublier ta promesse Car les baisers perdus Vois-tu, ne se retrouvent plus Allons, viens donc... - Refrain Bella Ragazzina Picola bambina Dans la nuit divine Viens tout prĂšs de moi Ma voix t'implore Mon coeur t'adore Dans la paix profonde Oubliant le monde Pour une seconde Je veux plein d'Ă©moi T'aimer encore Rien qu'une fois Tra la la la Tra la la la la Ô Ragazzina Je suis fou de toi ! 2 -Jusqu'au matin, sous un ciel plein d'Ă©toiles Je veux sans me lasser Te chĂ©rir et te bercer PassionnĂ©ment je lĂšverai ton voile Pour poser sur ton cou Les baisers d'amour les plus fous Allons, viens donc... BELLE HISTOIRE UNE, UN BEAU ROMAN UNE BELLE HiSTOIRE, UN BEAU ROMAN Michel Fugain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, La-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont trouvĂ©s au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait sans doute un jour de chance Ils avaient le ciel à portĂ©e de main Un cadeau de la providence Alors pourquoi penser au lendemain Ils se sont cachĂ©s dans un grand champ de blĂ© Se laissant porter par les courants Se sont racontĂ©s leur vies qui commençaient Ils n'Ă©taient encore que des enfants, des enfants Qui s'Ă©taient trouvĂ©s au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait sans doute un jour de chance Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains Comme on cueille la providence Refusant de penser au lendemain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, la-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont quittĂ©s au bord du matin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait fini le jour de chance Ils reprirent alors chacun leur chemin SaluĂšrent la providence en se faisant un signe de la main Il rentra chez lui, la-haut vers le brouillard Elle est descendue La-bas dans le midi C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui BELLE DE CADIX LA LA BELLE DE CADIX Vandair - Lopez - 1946 - Luis Mariano La Belle de Cadix a des yeux de velours La Belle de Cadix vous invite Ă  l'amour Les caballeros sont lĂ  Si, dans la posada On apprend qu'elle danse ! Et pour ses jolis yeux noirs Les hidalgos le soir Viennent tenter la chance ! Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Ne veut pas d'un amant ! La Belle de Cadix a des yeux langoureux La Belle de Cadix a beaucoup d'amoureux Juanito de Cristobal Tuerait bien son rival Un soir au clair de lune ! Et Pedro le matador Pour l'aimer plus encor' Donnerait sa fortune ! Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix n'a jamais eu d'amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter N'a jamais eu d'amant ! La Belle de Cadix est partie un beau jour La Belle de Cadix est partie sans retour ! Elle a dansĂ© une nuit Dans le monde et le bruit Toutes les seguidillas ! Et puis dans le clair matin Elle a pris le chemin Qui mĂšne Ă  Santa Filla ! La Belle de Cadix est entrĂ©e au couvent Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Est entrĂ©e au couvent ! Ah ! BELLE ÎLE EN MER BELLE ÎLE EN MER, MARIE-GALANTE A. Souchon - L. Voulzy, -1986 Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă  part Moi des souvenirs d'enfance En France Violence Manque d'indulgence Par les diffĂ©rences que j'ai CafĂ© LĂ©ger Au lait mĂ©langĂ© SĂ©parĂ© petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă  part Comme laissĂ© tout seul en mer Corsaire Sur terre Un peu solitaire L'amour je le voyais passer OhĂ©, ohĂ© Je le voyais passer SĂ©parĂ© petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement 38 /265 Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă  part Karukera CalĂ©donie Ouessant Vierges des mers Tous seules Tout le temps Vous c'est l'eau C'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă  part Hou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou BELLE ISABELLE BELLE ISABELLE Paroles Pierre Tchernia - Musique Jo Moutet InterprĂšte Georges GuĂ©tary - 1 - Au mois de mai, belle Isabelle, Quand tu es nĂ©e, belle Isabelle, On t'a nommĂ©e belle Isabelle Tu Ă©tais fraĂźche comme une fleur des champs Et ta maman, belle Isabelle, En te berçant, belle Isabelle, Chante souvent, belle Isabelle Cette chanson que lui chantait sa maman. La la la la La vie est belle, belle Isabelle La la la la Comme un bouquet au mois de mai. 2 -Tu as grandi, belle Isabelle, D'autres t'ont dit, belle Isabelle, Que tu es si belle, Isabelle, Qu'ils ont envie de le dire toute la vie Profites-en, belle Isabelle, Car le printemps, belle Isabelle, Ça n'a qu'un temps, belle Isabelle, Il faut cueillir le lilas quand il est lĂ . La la la la La vie est belle, belle Isabelle, La la la la Les amoureux vont deux par deux. 3 -Un jour, naĂźtra une Isabelle, Tu souriras, belle Isabelle, Tu chanteras, belle Isabelle, Cette chanson que te chantait ta maman Y 'aura toujours des Isabelle Vive l'amour, la vie est belle Chacun son tour, belle Isabelle, D'avoir seize ans et d'attendre le printemps. La la la la La vie est belle, Belle Isabelle La la la la Belle Isabelle. BELLE NUIT, Ô NUIT D'AMOUR BELLE NUIT, Ô NUIT D'AMOUR Belle nuit, ĂŽ nuit d'amour, souris Ă  nos ivresses Nuit plus douce que le jour, ĂŽ belle nuit d'amour Le temps fuit et, sans retour, emporte nos tendresses Loin de cet heureux sĂ©jour, le temps fuit sans retour ZĂ©phirs embrasĂ©s, versez-nous vos caresses ZĂ©phirs embrasĂ©s, versez-nous vos caresses
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  • chanson tu m avais dit pour le printemps