Avec un salaire de 3 000€ par mois, votre capacité d’emprunt maximale sera de 1 050€ par mois. Cette estimation a été calculée sans prendre en compte de charges. Si vous avez d’autres charges comme un crédit immobilier déjà en cours, la somme maximale que vous pourrez débourser sera plus faible.
La domiciliation des revenus fait souvent partie des prérequis pour obtenir un crédit immobilier auprès d’un établissement prêteur. Mais peut-on changer de banque avec un crédit en cours ? S’il n’est pas possible de transférer un crédit immobilier comme on le ferait avec un compte bancaire, il existe tout de même des possibilités de changer d’établissement… même lorsqu’on a un crédit en cours. Peut-on changer de banque avec un crédit immobilier en cours ? La loi Macron de 2017 facilite le changement de banque en prévoyant un service de mobilité bancaire. Ce service permet en effet à votre nouvelle banque de prendre en charge toutes les démarches liées au changement d’établissement. C’est elle qui se charge à votre place, si vous le souhaitez, de récupérer les informations relatives aux prélèvements valides et aux virements récurrents qui sont en place sur votre compte d’origine, d’informer les différents débiteurs fournisseurs d’électricité ou d’accès à internet, opérateur téléphonique… ainsi que votre employeur. Un vrai gain de temps, donc. Mais le service de mobilité bancaire a pour particularité de concerner uniquement les comptes de dépôt des particuliers. Ainsi, le transfert de compte n’est possible ni pour les produits d’épargne livrets, assurance-vie…, ni pour les différentes formes de crédits prêt auto, crédit immobilier…. Bon à savoir Le Service de Mobilité Bancaire BforBank se charge à votre place de l’ensemble des démarches administratives nécessaires au transfert de vos opérations vers votre Compte Bancaire BforBank. Option 1 vous ouvrez un second compte dans une autre banque Vous ouvrez un autre compte bancaire dans une banque en ligne, par exemple. Vous pouvez conserver la domiciliation de vos revenus et demander un compte sans moyens de paiement dans votre banque d’origine. Votre nouveau compte dans un établissement tiers peut vous servir à réaliser l’ensemble de vos autres dépenses, hormis le paiement des mensualités de crédit et de l’assurance emprunteur. Les opérations liées à votre crédit en cours restent dans votre établissement d’origine. Option 2 vous demandez un rachat de crédit Le crédit immobilier n’est pas transférable, mais vous pouvez tout à fait demander à votre nouvelle banque de procéder à un rachat de crédit. Attention, cette démarche peut engendrer des coûts supplémentaires. Vous pouvez notamment être amené à verser des pénalités de remboursement anticipé en cas de remboursement de votre crédit en totalité avant l’échéance prévue. Il faut également parfois accepter de payer des frais de dossier, une assurance emprunteur potentiellement plus onéreuse ou encore des frais de garantie. Inversement, un rachat de crédit peut aussi vous permettre de réaliser des économies, notamment en obtenant un taux de crédit immobilier plus attractif que celui que vous avez actuellement. Solliciter un rachat de crédit doit donc être le fruit d’une décision mûrement réfléchie. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter le service client de la banque dont vous souhaiteriez devenir client. Crédit photos Getty ImagesLecrédit en ligne constitue un mode de financement permettant à un particulier de disposer d’une trésorerie qui peut atteindre les 75 000 €. Simple et rapide, ce type de prêt est accordé selon les besoins et la nature du crédit contracté. Comme son nom l’indique, il s’effectue exclusivement sur Internet.
Il peut arriver dans certains cas qu’un emprunteur souhaite faire un second crédit immobilier, alors qu’il est déjà en cours de remboursement d’un premier prêt. Le marché de l’immobilier étant particulièrement favorable à l’investissement avec des taux d’emprunt très bas, cumuler un autre crédit immobilier est donc très tentant. Il existe plusieurs options en fonction de la situation de l’emprunteur et il faudra trouver la plus adaptée à chaque situation. A priori, rien ne l’empêche de souscrire à un deuxième emprunt et les organismes de crédit tout comme les banques sont plutôt ouverts à cette démarche. Les conditions d’octroi tout comme l’étude de la situation financière ou encore le taux d’endettement seront alors bien entendu examinés avec la plus grande attention. Le principe d’une demande de deuxième crédit S’il est tout à fait évident de souscrire à un deuxième crédit pour acheter une voiture ou faire des travaux lorsque le foyer est déjà en cours de remboursement d’un crédit à l’habitat, cela l’est beaucoup moins lorsqu’il s’agit d’un deuxième prêt immobilier. Pourtant le cumul de deux crédits immobiliers est tout à fait possible et aucune loi ne l’interdit. Les établissements financiers n’ont pas de contre-indications spécifiques pour l’octroi d’un nouvel emprunt en plus d’un existant. Par contre, le taux d’endettement sera minutieusement étudié afin de permettre à l’emprunteur de ne pas se retrouver dans une situation financière difficile. Ce rapport entre les charges et les revenus devra être équilibré, la moyenne de ce taux étant de 33%. Dans certains cas, principalement lorsque les revenus sont plus modestes, il peut être plus bas tandis que dans d’autres il sera plus élevé, car le foyer dispose de revenu plus importants. Les principales raisons de vouloir souscrire à un deuxième crédit immobilier sont l’achat d’une résidence secondaire ou encore un projet d’investissement locatif. Dans ce cas, le revenu de la location pourra servir à rembourser une partie du prêt souscrit. Ces situations sont de plus en plus courantes, notamment grâce aux taux d’intérêt toujours très bas sur le marché immobilier. Les banques et établissements de crédit sont de moins en moins frileux à répondre à ces demandes. L’emprunteur pourra faire plusieurs demandes auprès de différents organismes prêteurs, et son dossier fera l’objet d’une analyse spécifique et approfondie. Le remboursement de deux crédits en même temps Au niveau de la mise en place de deux crédits immobiliers, il existe plusieurs configurations possibles. Soit l’emprunteur s’adresse à sa banque et une banque concurrente, soit encore à un ou plusieurs organismes spécialisés. Un cumul de prêt ne signifie pas que les conditions seront identiques. Chaque crédit disposera en effet de sa propre durée de remboursement, son propre taux d’intérêt et sa propre mensualité. Parmi la diversité de prêts immobiliers, l’emprunteur a également la possibilité de souscrire d’un côté à un crédit classique, de l’autre à un prêt complémentaire mis en place par l’Etat, comme le prêt à taux zéro PTZ et le prêt 1% Logement, qui requièrent des conditions spéciales d’octroi, notamment de ressources et de montant maximal de prêt. Lorsqu’il s’agit d’un investissement locatif, les mensualités du crédit souscrit à cet effet vont être allégées grâce à la perception des loyers. En général, le prêteur prend en compte 70% de la somme perçue et estime ensuite la capacité de remboursement du demandeur. Il existe cependant le risque que le locataire ne paie plus son loyer à un moment donné. Pour se prévenir de cette situation, l’emprunteur a deux options. Soit ne pas utiliser toute son épargne pour l’apport du crédit immobilier pour prévoir un défaut de paiement, d’autant plus que les banques acceptent souvent de financer à 100% un investissement locatif, soit de souscrire à une assurance loyers impayés. Lorsqu’il s’agit de financer une résidence secondaire, les banques et établissements de crédit sont plus exigeants. Ils procèderont à une étude approfondie de la capacité de remboursement du demandeur, car une deuxième échéance de crédit représente une lourde charge pour le budget du ménage. De plus, lorsque la résidence est située en bord de mer, elle a bien entendu un avantage car elle peut toujours être louée, alors que si elle se trouve en pleine campagne elle peut vite devenir un gouffre financier. Attention à ne pas faire une hypothèque sur les deux résidences en même temps. Il est en effet préférable de conserver une garantie séparée par chaque bien afin de préserver l’un d’eux en cas de souci financier. Les conditions pour cumuler deux prêts immobiliers Cumuler deux prêts immobiliers est certes une formule avantageuse, mais elle comporte également des risques. Il est certain qu’il faut prendre quelques précautions avant de s’engager dans ce type d’opération et les banques et organismes prêteurs vont analyser les moindres détails de la situation de l’emprunteur. La première règle qu’ils vont strictement appliquer est la limite du taux d’endettement qui est fixée à 33% de manière générale. C’est une condition qui est demandée par la plupart des établissements financiers et qui ne dépend pas du nombre de crédits souscrits. Lorsque le deuxième crédit immobilier est souscrit dans le but d’un investissement locatif, il est plus facile d’obtenir une réponse positive à la demande, le revenu du loyer constituant une garantie de remboursement pour l’organisme prêteur. En revanche, lorsque le deuxième prêt immobilier est destiné à une résidence secondaire, les banques seront plus attentives aux conditions, voire plus exigeantes car le risque qu’elles prendront en accordant un prêt sera plus élevé. Les précautions à prendre Pour ne pas se retrouver dans une situation de finances déséquilibrées par des échéances trop lourdes, il est possible de procéder à un lissage de prêts. Mais attention cette opération n’est possible que si c’est le même organisme prêteur qui gère les deux crédits. L’emprunteur versera une mensualité unique chaque mois et c’est le prêteur qui va répartir la somme totale sur le remboursement des deux prêts. D’autre part, il ne faudra pas négliger les frais qu’engendrent deux prêts immobiliers, c'est-à -dire les frais de dossier et les frais d’assurance qui pourront être multipliés par deux. De plus, dans certains cas, notamment lorsqu’il y a un crédit ou les deux qui disposent d’une hypothèque, il faudra aussi prévoir les frais de notaire. Pour diminuer ces charges et le coût, la solution est de souscrire les deux crédits dans le même établissement. Il peut être intéressant de renégocier le taux d’intérêt du premier crédit immobilier lors de la souscription au deuxième. Avec la tendance baissière du marché, le banquier peut avoir tout intérêt à répondre favorablement à cette demande, de peur de voir son client filer chez la concurrence. S’il accepte, attention aux indemnités de remboursement anticipé. Lorsque l’emprunteur se retrouve face à un refus pour l’octroi d’un deuxième crédit immobilier, en général car la somme demandée est trop importante ou car son taux d’endettement grimpe trop haut, il peut se tourner vers le rachat de crédits. Cette solution de regroupement de tous les crédits mais aussi les dettes en cours, peut lui permettre de réduire son taux d’endettement en souscrivant à un crédit unique qui pourra bénéficier d’une trésorerie supplémentaire. Celle-ci pourra servir à un achat immobilier, ce qui évitera le deuxième crédit. Par contre la durée de remboursement sera allongée, la mensualité pourra être réduite mais le coût total du crédit sera plus élevé.Laloi Macron n’autorise pas les emprunteurs ayant plusieurs crédits en cours à changer de banque. Si le transfert de crédits est interdit, il est toujours possible de recourir au rachat de crédit. Dans ce cas, les prêts contractés seront regroupés en un seul et unique crédit permettant au souscripteur de bénéficier d’une mensualité réduite.
CRÉDIT ET DIVORCE Bon à savoir Une procédure de divorce nécessite obligatoirement la liquidation de l’ensemble de la communauté de vie. Pourtant, certain époux souhaitent contracter un crédit afin d’obtenir rapidement un nouveau logement. Le couple se trouve-t-il engager ? Peut-on réellement contracter un crédit seul ? Il n’est pas sans rappeler que l’article 220 du Code civil dispose que chacun des époux à pouvoir pour passer seul les contrats qui ont pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation des enfants toute dette ainsi contractée par l'un oblige l'autre solidairement ». Ainsi toutes dettes ménagères contractées par l’un des époux obligent l’autre conjoint. Qu’en est-il lorsqu’une procédure de divorce est d’ores et déjà entamée ? L’obligation de solidarité est-elle maintenue ? Vous souhaitez divorcer ? Contactez notre AVOCAT DIVORCE Quand bien même les époux sont séparés de fait, ils sont tenus à rembourser les dettes ménagères, ou les emprunts contractés, pour les besoins du ménage. Dès lors que le divorce n’est pas prononcé, ils sont tous deux solidaires, exception faite d’un crédit contracté après l’ordonnance de non conciliation dans le cadre d’un divorce contentieux. En cas de procédure de divorce par consentement mutuel, ce n’est qu’à compter de la transcription de la mention divorce sur les actes d’état civil que le principe de solidarité n’est plus exigible. Bon à savoir Depuis janvier 2017, la nouvelle procédure de divorce par consentement mutuel permet aux avocats d’envoyer le dossier complet au Notaire afin qu’il puisse enregistrer votre divorce. Vous n’êtes plus dans l’obligation de vous déplacez en audience devant le juge, il suffit simplement de venir signer le divorce dans notre cabinet d'avocats. Généralement en 1 mois, votre divorce est officiellement prononcé; la patience est donc leur meilleur allié. A préciser néanmoins que les dettes ménagères contractées par les deux époux pendant le mariage les obligent solidairement après le divorce. En quel cas, si l’un d’eux n’est plus solvable, l’autre est automatiquement redevable auprès du service bancaire. Il lui sera possible d’exercer un recours contre son ex-conjoint afin d’obtenir le remboursement de la somme Un époux peut-il emprunter seul pendant une procédure de divorce ? - Dans l’hypothèse où ils se sont mariés sous le régime de la communauté, le bien acquis entre nécessairement dans la communauté. Exception toutefois si l’époux a pris le soin de rédiger un acte notarié afin de mentionner le caractère propre du bien, et qu’une désolidarisation est effectuée auprès de la banque. Il est également indispensable d’obtenir un accord écrit du conjoint non contractant afin d’autoriser le caractère propre du bien acquis à l’aide du crédit. - Dans l’hypothèse où il s’agit d’un divorce par consentement mutuel, l’obligation de solidarité cesse après l’enregistrement de la convention de divorce par le notaire et la transcription de la mention divorce » sur les registres de l’état civil. - Concernant les procédures de divorce contentieuses, les époux ne sont plus redevables entre eux après l’ordonnancement de non conciliation ou la date de cessation de la cohabitation. S’il est bien évidemment conseillé d’attendre la prononciation définitive du divorce, un crédit peut être accordé à l’un des époux en instance de divorce. Pour se faire, la banque s’assure de sa solvabilité future notamment en prenant en considération les éventuelles pensions alimentaire et/ou compensatoire. Partager Twitter Plus Articles liés Soulte et Divorce Soulte et Divorce COMMENT FONCTIONNE LA SOULTE DANS UN DIVORCE AMIABLE ? Lorsque les époux décident de divorcer par consentement mutuel, ils doivent obligatoirement... divorce articles Peut-on prendre un crédit pendant une procédure de divorce? Le cabinet d'Avocat GC Vous informe et vous conseille Vous assiste devant les tribunaux Reste disponible et à votre écoute Intervient dans toute la France Vous offre des facilités de paiement Contactez un avocat - Facebook - YouTube - Google+ Intervention dans toute la FranceCommentemprunter avec un crédit en cours? L’un des principaux moyens utilisés pour emprunter avec un crédit en cours est de regrouper ses crédits en un seul prêt ne comportant qu’une unique mensualité. En contrepartie, le coût total du crédit augmente puisque vous payez plus d’intérêts.
Lorsque vous songez à faire un emprunt auprès de la banque, vous ne devez pas agir tête baissée. Après avoir pesé le pour et le contre, vous avez décidé qu’il est bon de franchir l’étape ? Grand bien vous fasse ! Mais pour mettre toutes les chances de son côté, vous devez respecter certains points, et notamment bien définir la somme à demander. Combien la banque peut-elle nous empruntée ? Dans les faits, les banques et les organismes de prêts peuvent vous accorder un crédit allant de 600 à 75 000 euros, remboursables sur 12 mois à plusieurs années selon le cas. Les petits crédits, à savoir le crédit renouvelable entre autres, sont plafonnés à 6 000 euros pour 60 mois de remboursements. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter les différents types de crédit sur Avec les crédits affectés, vous aurez plus d’opportunités. Mais il faudra justifier vos dépenses avec des factures, des devis ou des compromis de vente dans le cadre d’un crédit immobilier. Bien évidemment, ces établissements financiers vous laissent une totale liberté pour ce qui est du choix de votre capital à emprunter. Tout dépend de vos besoins, de vos possibilités de remboursement et de la disponibilité de vos apports personnels. En outre, sachez que choisir avec minutie le montant de votre emprunt peut impacter sur le coût de celui-ci. Vous êtes sans savoir que les taux nominatifs et le TAEG d’un contrat de crédit sont fixés à partir du montant demandé à la banque. Il en sera de même pour la durée de votre engagement. Il reste à savoir donc, comment bien choisir le montant de votre engagement. Utiliser les simulateurs en ligne pour savoir combien emprunter Les simulateurs en ligne sont les meilleures alternatives pour savoir combien vous pouvez emprunter. Ils personnalisent en effet les résultats en fonction de votre situation revenu actuel, charge en cours, etc. En outre d’être facilement accessible, les calculettes en ligne sont gratuites et sans engagement. Vous pouvez donc refaire vos estimations autant de fois que nécessaires non seulement pour trouver le montant idéal à emprunter, mais aussi les conditions d’emprunt adéquat selon votre situation. Le but étant d’éviter le surendettement. Pour information, vous devez avoir une possibilité d’endettement de 30 %, une fois vos charges en cours déduits, pour obtenir l’aval des banques. Une simulation vous facilitera donc la recherche des mensualités idéales et du plafond d’emprunt disponible en ce sens. Et qu’en est-il des courtiers de crédit ? Une autre alternative, payante, mais plus sûre, serait aussi de faire appel à un courtier crédit. C’est un prestataire financier indépendant qui vous accompagnera non seulement dans la simulation des offres de crédit, mais aussi dans la négociation auprès des banques. Le courtier propose un service beaucoup plus complet et personnalisable, qui attire la majorité des emprunteurs. En outre, il garantit la réussite de votre demande de prêt en peaufinant votre profil et en faisant jouer ses connaissances. Le courtier se base entre autres sur le devis général de votre projet pour faire ses calculs. Il déduira bien évidemment les apports personnels s’il y en a. Il jouera sur la durée d’endettement pour vous permettre de profiter du capital idéal pour le financement de votre projet personnel ou professionnel en cours. Attention toutefois, plus une dette s’étale dans le temps, plus il vous coûtera cher. Les taux nominatifs s’accumuleront. Un point à ne pas négliger l’apport personnel Même si un apport personnel n’est pas obligatoire, il reste une aubaine pour les emprunteurs. Il permet de réduire le capital à emprunter et donc d’optimiser vos chances de réussite et de réduire le coût de votre emprunt et les risques d’endetteme Prêtlogement : trois possibilités. Emprunter un budget supplémentaire peut se faire grosso modo de trois manières différentes : reprise d'un crédit hypothécaire existant. emprunt distinct. refinancement de votre prêt en cours avec emprunt du budget supplémentaire.