lisezles avis et critiques sur les hommes sont des femmes comme les autres - paris avec en alternance : virginie pothier, fabrice simon, manuel montero ou isabelle rocher, marc simon, rĂ©gis lionti mis en scĂ©ne par manuel montero, les hommes sont des femmes comme les autres c'est pas toujours facile d'ĂȘtre une femmestĂ©phane, trentenaire

444 CopiĂ© GĂ©raldine Woessner 09h14, le 08 septembre 2016La presse quotidienne revient ce jeudi sur les hommes qui ont recours Ă  la chirurgie esthĂ©tique au mĂȘme titre que les matin en Une de vos journaux, on crie son ras le Parisien sexisme vous aussi, dites stop. Et pour le dĂ©sormais ras-le-bol fiscal, il y a LibĂ©ration qui nous annonce la ristourne ImpĂŽts un dernier geste pour la route. Mais cela suffira-t-il ? L’Opinion François Hollande le plongeon. Avec le dessin de Kak François Hollande sur son plongeoir, caleçon de bain Ă  petits cƓurs, prĂȘt Ă  faire le saut de l’ange. En bas, la piscine est remplie Ă  hauteur de sa cote de popularitĂ© 12%. Et François Hollande qui s’inquiĂšte c’est maintenant qu’il me faudrait une bonne le combat du jour. Avec un petit badge que nous prĂ©sente le Parisien et qui, dĂ©jĂ , est arborĂ© par Julie Gayet, c’est vous dire Sexisme, pas notre genre. Parce que le sexisme serait partout. "t’as mis ta petite jupe, t’as un truc Ă  demander au boss ?" C’est le premier exemple qui vient. Avant les diffĂ©rences salariales. Avant, surtout, le constat que l’ambition fĂ©minine est souvent trĂšs mal vue
 par les femmes elles-mĂȘmes. Dans le Figaro, le docteur Ghada Hatem, gynĂ©cologue fondatrice de la Maison des femmes Ă  Saint Denis, parle du sexisme auquel elle est confrontĂ©e, ces femmes dont les maris exigent qu’elles ne soient examinĂ©es que par un homme, ces femmes persuadĂ©es qu’elles ne valent rien et qui disent "je vais revenir vous voir avec mon mari parce qu’il est plus intelligent que moi". Mais y-a-t-il rĂ©ellement une Ă©quivalence entre le sexisme ordinaire que subissent des femmes parfaitement Ă  mĂȘme de rĂ©pondre et l’enfermement que dĂ©nonce le docteur Hatem ?VĂȘtement des femmesLe docteur Hatem dit son refus de considĂ©rer le burkini comme un vĂȘtement anodin. "Se battre contre ce vĂȘtement, c’est maintenir l’idĂ©e du respect de la femme, tout simplement". Et c’est bien de respect et de libertĂ© dont il est question quand Le Parisien nous raconte l’agression d’un groupe d’amis aux abords d’une citĂ© de Toulon. Parce que les 2 femmes portaient un short, elles ont essuyĂ© de la part d’une dizaine de jeunes gens des "sale p
, vas-y, mets-toi nue !" Quand leurs conjoints ont appelĂ© au respect, ils se sont fait violemment frapper sous les yeux de leurs enfants. Dans ce contexte oĂč la pudeur des femmes redevient un enjeu, les propos de Najat Vallaud Belkacem dans l’Obs sonnent Ă©trangement. Si elle se dit opposĂ©e au burkini au nom de la libertĂ© des femmes, elle tient Ă  marquer sa diffĂ©rence avec le premier ministre. "Manuel Valls a son identitĂ© politique, et moi, j’ai la mienne. Pour lui, l’essor de l’islam radical est le combat central. Pour moi, la sociĂ©tĂ© française est d’abord minĂ©e par le repli identitaire, le ressentiment Ă  l’égard des musulmans". On ne sait pas si le port du short relĂšve du repli identitaire, mais on va s’y sur le handicapQuestion d’égalitĂ© Le Conseil d’État, nous dit le Figaro, a donnĂ© raison au CSA qui refusait le passage gratuit d’un clip montrant des jeunes trisomiques heureux de vivre et intitulĂ© "chĂšre future maman". Le CSA demande une diffusion mieux encadrĂ©e et contextualisĂ©e, au motif que le choix d’adresser ce message Ă  de futures mĂšres risquait de gĂ©nĂ©rer un trouble de conscience et d’inciter des femmes Ă  renoncer Ă  l’avortement. "Cela devient tabou de dire qu’on peut ĂȘtre heureux avec des enfants trisomiques. Il y a de la suspicion et des amalgames avec le combat des pro-vie" dĂ©plore le PrĂ©sident du collectif de trisomiques. Quand le choix individuel d’une mĂšre se confronte Ă  un enjeu collectif, l’intĂ©gration des handicapĂ©s dans la sociĂ©tĂ©, ce n’est plus un problĂšme juridique, c’est un problĂšme moral qui nous concerne des vieux politiquesIl y a François Hollande, bien sĂ»r, dont l’Opinion nous dit que son statut de PrĂ©sident est la seule lĂ©gitimitĂ© et le seul prestige qui lui restent. "Pour qu’il y ait Brutus, encore faut-il qu’il y ait Cesar" persifle François Patriat, l’un des soutiens d’Emmanuel Macron. Mais l’ancien ministre ne gĂȘne pas seulement le PrĂ©sident. Dans Le Figaro Guillaume Perrault nous dĂ©crit un François Bayrou en artiste dĂ©chu "un jour on remplit l’Olympia, le lendemain on court le cachet en animant un mariage au foyer rural Louis Aragon d’un petit village". Laissera-t-il sans lutter un moutard nommĂ© Macron donner Ă  ses thĂšses de toujours un air de nouveautĂ© ?Les hommes sont des femmes comme les autres. La preuve par Paris Match qui nous raconte qu’ils sont de plus en plus nombreux Ă  se prĂ©cipiter sur les injections, et la chirurgie esthĂ©tique. Les quinquas souffrent d’ĂȘtre surnommĂ©s le vieux au boulot. DĂšs l’ñge de 30 ans, on se dit qu’avec des poches sous les yeux, on a peu de chance d’obtenir une promotion. EspĂ©rons que cette injustice va Ă©mouvoir les grandes consciences en lutte contre le chroniques des jours prĂ©cĂ©dents 07/09/2016 06/09/2016 05/09/2016

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Le pouvoir a-t-il un sexe?dossierSi l’entre-soi masculin entretient la sous-fĂ©minisation de la vie politique, il faut aussi repĂ©rer comment les femmes participent elles-mĂȘmes de leur Camille Froidevaux-Metterie , professeure de science politique et chargĂ©e de mission Ă©galitĂ©-diversitĂ© Ă  l’universitĂ© de ReimsTribune. Par-delĂ  les avancĂ©es de la paritĂ© sur un plan comptable, la vie politique demeure un monde surmasculinisĂ© dont la fĂ©minisation ne se conçoit qu'en dĂ©gradĂ© si les Ă©chelons infĂ©rieurs sont quasi paritaires, les femmes disparaissent Ă  mesure que l'on s'Ă©lĂšve dans les statuts et que l'on se rapproche du sommet de l'Etat. Deux types d'explications sont gĂ©nĂ©ralement mobilisĂ©s pour rendre compte de ce phĂ©nomĂšne. D'un cĂŽtĂ©, on dĂ©nonce la prĂ©gnance de reprĂ©sentations hĂ©ritĂ©es du passĂ© qui font du mĂ©tier politique un mĂ©tier d'hommes par excellence saisi au double prisme de la vocation et de la division sexuĂ©e des tĂąches. De l'autre, on dĂ©plore que l'entre-soi masculin entretienne des mĂ©canismes d'exclusion et d'invisibilisation des femmes instrumentalisation voire contournement des dispositifs paritaires, captation des postes exĂ©cutifs, assignation Ă  des rĂŽles de figuration et disqualifications sexistes.Si l’on veut comprendre comment cet ordre phallocentrĂ© des choses pourrait ĂȘtre Ă©branlĂ©, il faut inverser le point de vue et s’adresser Ă  celles qui ont le courage de s’y immiscer et d’y Ă©voluer. Lorsqu’on les interroge 1, les femmes politiques tĂ©moignent massivement des obstacles dressĂ©s devant elles par les tenants du bastion. Que ce soit au moment de leur entrĂ©e en politique, durant les campagnes Ă©lectorales ou pendant leur mandat, et quel que soit leur niveau de responsabilitĂ©, elles subissent en continu des atteintes d’intensitĂ© variĂ©e de la blague sexiste au dĂ©nigrement, de la malveillance Ă  l’agression sexuelle, en passant par des formes plus insidieuses de violence, quand elles doivent accepter d’ĂȘtre conseillĂ©es, voire pilotĂ©es, par les hommes dont on prend soin de les et c’est un aspect moins flagrant du problĂšme, il se trouve aussi que les femmes concourent d’elles-mĂȘmes Ă  leur propre minoration. D’abord en pratiquant peu la solidaritĂ© qui leur permettrait de contrer la puissance des rĂ©seaux masculins de pouvoir. C’est ce que nous avons dĂ©couvert avec effarement la lutte qu’il faut mener pour parvenir Ă  ĂȘtre dĂ©signĂ©e candidate puis Ă  ĂȘtre Ă©lue, sans parler de la nomination Ă  une fonction Ă©minente, tous ces obstacles Ă  franchir et ces inimitiĂ©s Ă  dĂ©passer conduisent les femmes Ă  s’enfermer dans une posture combative qui peut se muer en animositĂ© envers celles qui briguent les mĂȘmes mandats et positions. De plus en plus nombreuses, les Ă©lues commencent toutefois Ă  saisir qu’elles ont intĂ©rĂȘt Ă  demeurer solidaires, Ă  crĂ©er et Ă  entretenir des rĂ©seaux de femmes, par-delĂ  les interprĂ©tations qui stigmatisent l’entre-soi fĂ©minin toujours suspect d’entretenir des ressorts et c’est le second facteur fĂ©minin» de la sous-fĂ©minisation, les Ă©lues demeurent Ă©cartelĂ©es entre leurs aspirations universalistes et des pratiques assez manifestement genrĂ©es. Lorsqu’on leur demande s’il existe une façon fĂ©minine de faire de la politique, la rĂ©action est unanime absolument pas. A les en croire donc, les hommes seraient des femmes politiques comme les autres. Mais si l’on s’intĂ©resse au quotidien de leur mandat, si on les questionne sur leur travail en rĂ©union, en commission, en assemblĂ©e, la rĂ©alitĂ© qui se dessine est tout autre. Elle rĂ©vĂšle une dichotomie sexuĂ©e fermement l’enquĂȘte, il est ressorti que l’on pouvait distinguer deux styles politiques, l’un masculin», dominant et fortement dĂ©criĂ©, l’autre fĂ©minin», souvent Ă©voquĂ© comme une alternative bĂ©nĂ©fique aux normes qui rĂ©gissent la vie publique. ImmĂ©diatement, une prĂ©cision doit ĂȘtre faite il ne s’agit pas ici d’introduire un prisme diffĂ©rentialiste ni de justifier les rĂŽles sexuĂ©s stĂ©rĂ©otypĂ©s, il ne s’agit que de restituer ce qui nous a Ă©tĂ© rapportĂ© de la façon dont les unes et les autres accomplissent leur mandat. Il est ainsi apparu que le repĂ©rage d’approches genrĂ©es de la fonction d’élu n’était pas incompatible avec une homologie de principe entre les femmes et les hommes. C’est mĂȘme tout le paradoxe de la situation fermement attachĂ©es Ă  l’idĂ©e d’une Ă©galitĂ© abstraite entre les individus, les femmes politiques font le constat de ce que, dans l’exercice du mĂ©tier politique, il existe des façons de faire liste est longue des comportements prĂ©sentĂ©s comme spĂ©cifiquement fĂ©minins rapport au temps efficace, Ă©coute et respect d’autrui, souci de formation et de maĂźtrise des dossiers, concision et retenue dans la prise de parole. Au style politique masculin, mixte de confiance en soi, de culot et d’agressivitĂ©, les femmes politiques opposent un style alternatif. Ce n’est pas tant que celui-ci leur serait inhĂ©rent, c’est parce qu’elles refusent d’endosser les attributs androcentrĂ©s du pouvoir. C’est aussi, et peut-ĂȘtre surtout, parce qu’on ne se dĂ©barrasse pas d’un coup de siĂšcles d’injonctions Ă  la mesure, Ă  la modestie et au que nous pouvons postuler, c’est que la fĂ©minisation en cours de la sphĂšre publique modifiera ce partage des rĂŽles sexuĂ©s. Non pas tant par substitution du modĂšle fĂ©minin au modĂšle masculin que par homogĂ©nĂ©isation des styles et convergence des genres. Il se trouve que le ressort cachĂ© de cette dynamique est fĂ©minin. Les femmes politiques sont confrontĂ©es Ă  un dĂ©fi que les hommes n’ont pas Ă  relever, celui de tenir ensemble les dimensions familiales et sociales de leur existence. Comme toutes les femmes, elles doivent rĂ©soudre ce dilemme privĂ©-public qui les enjoint Ă  toujours faire des choix et des compromis, quand ce ne sont pas des sacrifices. L’un des enjeux cruciaux du combat fĂ©ministe aujourd’hui rĂ©side dans la possibilitĂ© effective de dĂ©construire les reprĂ©sentations genrĂ©es, en instituant par exemple un congĂ© paternitĂ© digne de ce nom. Ce mouvement de masculinisation de la sphĂšre intime n’est encore qu’un horizon, mais il se dessine de plus en plus nettement. Ils ne le savent pas encore, mais les hommes sont bel et bien en train de devenir des femmes comme les autres.1 EnquĂȘte auprĂšs d'une soixantaine de femmes politiques en 2012. Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s sous la forme d'un docu-fiction LibĂ©rationLe pouvoir a-t-il un sexe ?» Camille Froidevaux-Metterie participe Ă  la journĂ©e de dĂ©bats organisĂ©e Ă  l'AssemblĂ©e nationale, vendredi. A suivre en live sur et Facebook.

Siles femmes font pareil, c’est que les hommes ne sont pas si mal! Ne faisons surtout pas de procĂšs aux femmes politiques: sans adrĂ©naline elles ne pourraient pas tenir ces places. Les hommes en savent bien quelque chose. Au final, l’attitude des femmes en politique rĂ©habilite les hommes: ils ne sont pas des brutes Ă©paisses. Et les
Je ne dirais pas que les femmes sont "dures" mais plutĂŽt qu’elles sont fortes et parfois plus que les hommes. On leur demande tellement travailler, s’occuper des enfants, des courses, de la maison, penser Ă  tout, soutenir leur conjoint...qu’elles ont appris Ă  ĂȘtre fortes, mĂȘme si un jour elles craquent les femmes sont plus touchĂ©es que les hommes par la dĂ©pression. Et puis, souvent, les femmes -et les femmes en politique comme les autres-, vont jusqu’au bout de ce qu’elles font et ne supportent pas l’échec dans un ou l’autre des domaines de leur vie, d’autant plus qu’elles ne savent pas bien, comme les hommes, cloisonner les composantes privĂ©es, professionnelles ou autres de leur vie. Cela ne veut pas dire que les femmes ne font pas de la politique diffĂ©remment mais on manque un peu d’exemples pour analyser cela. Cela dĂ©pend aussi si ces femmes assument leur fĂ©minitĂ© ou si elles s’efforcent de copier les hommes. Vous disiez que vous n’avez pas vu de "de langage plus humaniste, d’intĂ©rĂȘt plus social ou environnemental que chez leurs collĂšgues masculins." Moi, j’ai quand mĂȘme remarquĂ© que s’intĂ©resse Ă  l’environnement depuis longtemps alors que Sarkozy ne cache pas que l’écologie, cela lui casse les pieds. Quant Ă  la sensibilitĂ©, il ne faut pas la confondre avec la faiblesse on peut ĂȘtre une femme forte et ĂȘtre sensible, ce n’est pas inconciliable. C’est l’opposition dur/sensible que vous utilisez qui n’est pas bien choisie. Enfin, je ne crois pas que les femmes fonctionnent Ă  "l’adrĂ©naline" comme vous dites, leur force est davantage psychologique ! Je vois bien que le monde scolaire que les filles sont moins violentes que les garçons peu de bagarres de filles mais elles sont plus tĂȘtues, plus opiniĂątres cela peut ĂȘtre une qualitĂ© ! et mettent plus de temps Ă  pardonner. Bien sĂ»r, ce ne sont que des gĂ©nĂ©ralitĂ©s, aprĂšs il y a surtout des questions d’individu.
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En se retrouvant dans la peau d'une superbe bombe latine pendant une nuit, StĂ©phane va se retrouver dans un imbroglio infernal avec la belle Joanna et son frĂšre Bruno ; il devra se sortir de situations pour le moins trĂšs embarrassantes. Les ennuis commencent, et ils ne sont pas prĂȘts de s'arrĂȘter. Amour, quiproquos, rebondissements, exotisme et revolvers, tels sont les ingrĂ©dients de ce boulevard moderne aux dialogues percutants et au rythme effrĂ©nĂ©. DĂ©jantĂ©, dĂ©calĂ©, jubilatoire, "Les hommes sont des femmes comme les autres" est une comĂ©die Ă  100 Ă  l'heure, Ă  voir en couple, entre amis, ou en famille. ï»żLeshommes de la prĂ©histoire sont-ils des femmes comme les autres ? En plateau : A l’occasion de la publication de son ouvrage, L’homme prĂ©historique est aussi une femme, paru chez Allary Éditions en octobre 2020, nous recevons MarylĂšne Patou-Mathis, prĂ©historienne, spĂ©cialiste de l’homme de NĂ©andertal et directrice de recherche au On a les sentiments trĂšs mĂ©langĂ©sOn parle avec les plantes et les bĂ©bĂ©sParlez-nous gentiment on aime assezOn a le sixiĂšme sens bien dĂ©veloppĂ©Sentiments mĂ©langĂ©sTraits pour traits mĂ©langĂ©sLe monde est ainsi faitAvec ou sans faux nezOn a le sparadrap du paradisOn a le placebo du beau paysTirĂ© du ciel manu militariOn nous rappelle Ă  la massePrĂ©vert ici gĂźtComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme les autresLa vie est une tartineLes chats gris me chagrinentOn dit que qui dort dĂźneC’est pas ce que dit NordineComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresOn a les sentiments si ressemblantsOn a tĂ©tĂ© les seins de nos mamansOn va pas refaire le monde Ă©videmmentPourtant son cul mĂ©rite un pied dedansSentiments mĂ©langĂ©sTraits pour traits mĂ©langĂ©sLe monde est ainsi faitAvec ou sans faux nezComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresComme disait Marx, Groucho pas KarlLes hommes sont des femmes comme les autresHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
Seulelauréate 1999 du Prix de la vocation scientifique et technique, LÊtitia Viven mûrit son projet professionnel: devenir chef de chantier. Un métier d'homme Sa grand-mÚre lui
Pas fĂ©ministe, pas misogyne, non. Contente d’ĂȘtre une femme je n’ai jamais eu l’impression de valoir moins qu’un homme ou d’ĂȘtre moins bien considĂ©rĂ©e. Jamais... Les femmes et les hommes sont Ă©gaux en dignitĂ© et en droit. Je n’ai jamais doutĂ© de cela. Et j’ai transmis cela Ă  mes filles qui le transmettent Ă  leurs fils... Ils ont les mĂȘmes droits et les mĂȘmes devoirs les uns envers les autres. Peut-ĂȘtre parce que je suis nĂ©e entre une grande sƓur et un petit frĂšre. Peut-ĂȘtre parce qu’avant moi, mes parents ont perdu deux petits... Peut-ĂȘtre parce que j’ai passĂ© beaucoup de temps avec une espĂšce d’ange qui m’aimait comme personne. Il me fallait bien ça puisque de toute Ă©vidence, mĂȘme si nos parents nous aimaient tous les trois et on donnĂ© leur vie pour nous, mes parents avaient chacun leur prĂ©fĂ©rĂ©... En plus quand je suis nĂ©e j’ai failli tuer ma mĂšre et je le jure, j’ai pas fait exprĂšs... Il faut toujours ĂȘtre le prĂ©fĂ©rĂ© de quelqu’un. Sinon c’est difficile de grandir. Et mon ange Ă  moi, c’était une vieille cĂ©libataire, tailleurE de mĂ©tier, c’était Ă  lĂ©poque plutĂŽt un mĂ©tier d’homme, elle avait du caractĂšre, doublĂ©e d’une grenouille de bĂ©nitier qui m’emmenait partout avec elle, quand elle faisait le bien. Une nonne laĂŻque, ma chance Ă  moi. Pas trĂšs fĂ©minine, et d’une douceur infinie...Je crois que c’est elle qui m’a appris que les femmes sont des hommes comme les autres. Egales aux hommes, en dignitĂ© et en droit et pour moi aussi c’est devenu une fille, tu seras une femme si... Merci Rudyard Kipling Si tu peux voir dĂ©truit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ;Si tu peux ĂȘtre amantE sans ĂȘtre foLLE d’amour, Si tu peux ĂȘtre fortE sans cesser d’ĂȘtre tendre, Et, te sentant haĂŻE, sans haĂŻr Ă  ton tour, Pourtant lutter et te dĂ©fendre ;Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-mĂȘme d’un mot ;Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en soeur, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;Si tu sais mĂ©diter, observer et connaĂźtre, Sans jamais devenir sceptique ou destructRICE, RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre, Penser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ;Si tu peux ĂȘtre durE sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais imprudentE, Si tu sais ĂȘtre bonNE, si tu sais ĂȘtre sage, Sans ĂȘtre moralE ni pĂ©dantE ;Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront,Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront Ă  tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras une femme, mA n’oublie pas ma fille que nous tous sommes sur terre pour nous aimer. A commencer par nous-mĂȘmes. Parce que nous le valons bien et qu’on ne peut pas aimer les autres, si on ne s’aime pas soi-mĂȘme... Et ce n’est pas facile tous les jours de s’aimer soi-mĂȘme, et pour ça aussi, nous avons besoin des autres...
nNdA.
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