C19do Heureux veilleurs ! Jésus disait à ses disciples : " Restez en tenue de service et gardez vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces pour lui ouvrir dès qu'il arrivera et frappera à la porte. Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller. Dimanche, tard dans la soirée, après une nouvelle journée épuisante, dans la nuit froide de Jérusalem, devait avoir lieu la rencontre historique entre le Pape et le patriarche Athénagoras, accueilli à la grille de la délégation apostolique par trois cardinaux, tandis que le Pape l’attendait sur le perron. Le Pape et le Patriarche se donnèrent une accolade fraternelle sur le seuil de la porte, au-dessus de laquelle est gravée l'inscription Domus Dei et porta coeli. Ensuite devait se dérouler un tête-à-tête d'environ cinq minutes. Après les événements religieux des deux jours précédents, chacun espérait l'effusion de la grâce de l'Esprit sur l'entretien des deux chefs d'Église, humbles pèlerins des Lieux Saints, suivant les pas du Christ, unique Médiateur et tête invisible de l' furent introduites les deux suites du Pape et du Patriarche. Et, devant cette assemblée, lecture fut donnée, en grec et en latin, du chapitre 17 de l’Evangile de saint Jean, rapportant la prière du Christ à la veille de sa Passion qu'ils soient un. Tous, ensuite, récitèrent ensemble le Pater. Je suis prêt à aller à Rome, m’avait dit le patriarche Athénagoras, le 6 août 1959. Le Pape est le premier évêque de l'Église du Christ, il est dans l'ordre que le deuxième voie le premier, à condition qu'à la main tendue répondent des bras ouverts. » Quelle parole, me suis-je dit alors, et quel patriarche, dans le passé, parla jamais ainsi ? Oui, poursuivit le patriarche Athénagoras, nous vivons une ère cosmogonique, un monde nouveau naît. Malheur aux chefs des Églises s'ils ne voient pas les signes des temps. »Athénagoras resta attentif aux signes que furent le pontificat de Jean XXIII, le Concile, le pèlerinage de Paul VI, sans oublier la rencontre panorthodoxe de Rhodes et le développement du Conseil œcuménique des rencontre désirée se réalise aujourd’hui. Elle n'a pas lieu à Rome, mais à Jérusalem, pour signifier que l'unité sera non l'absorption d’une Église par une autre, mais un retour au Christ, dont la présence est ici plus sensible que partout qui se proclame tête et mère de toutes les Églises, en vertu de la primauté de Pierre, vient vénérer l’antique Église de Jérusalem, que les catéchismes orthodoxes appellent également mère de toutes les Églises. Jérusalem l'est, en vérité, et elle eut longtemps Pierre pour chef, avec le Collège des matin, le Pape devait rendre sa visite au patriarche Athénagoras selon le même cérémonial. Il sera accueilli par trois métropolites à l’entrée de la résidence du patriarche Benedictos au mont des Oliviers, tandis qu'Athénagoras l'attendra à la événements constituent l’aboutissement de la volonté tenace du patriarche Athénagoras, qui sut convaincre et rallier toutes les Églises orthodoxes, et trouva chez Paul VI la vénération et l'estime des Églises orientales plus grande que jamais dans le passé. La rencontre Rome-Constantinople est un rappel de la communion qui exista dans le passé et se renouvelle dans le présent par la prière et la charité. Les témoins de l'événement ont senti le passage de vérité, une ère nouvelle a commencé. Jérusalem en fut le théâtre, pour bien montrer que la fidélité au Christ est source de tous biens, et que seule une parfaite obéissance à l’Evangile amènera la consommation de l'Unité.
Philippiens2 14 Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, 15 afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, 16 portant la parole de vie; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n'avoir pas couru en vain ni
International Inde 72 ans après la partition, et après des mois de discussions, les deux pays ennemis inaugurent un pont qui permettra aux sikhs d’accéder à un de leurs lieux saints. Article réservé aux abonnés Il n’y aura pas de poignée de mains entre Narendra Modi et Imran Khan, mais pour la première fois depuis l’indépendance l’Inde et le Pakistan ont bâti un pont entre eux. Les dirigeants des deux pays ennemis doivent inaugurer séparément, samedi 9 novembre, le corridor de Kartarpur qui va permettre de connecter deux lieux saints du sikhisme, Gurdwara Nankana Sahib, au Pendjab pakistanais, qui abrite le mausolée du fondateur de cette religion, le gourou Nanak, et Dera Darbar Sahib au Pendjab indien. Voilà 72 ans que les pèlerins Sikhs attendaient cet évènement. C’est un peu une réparation de l’histoire. Le Pendjab avait été coupé en deux par les Britanniques, au moment de la partition de 1947. Seulement 20 000 Sikhs vivent au Pakistan, mais 21 millions en Inde, dont 80 % au Pendjab. 5 000 fidèles par jour Le projet du corridor vers Kartarpur était réclamé de longue date par New Delhi mais avait été bloqué par des années de froid diplomatique entre les deux voisins qui se sont livrés trois guerres, notamment autour du territoire disputé du Cachemire. Après des mois de discussions les deux pays ont signé, le 24 octobre, un accord sur les modalités opérationnelles du corridor long de 4,2 kilomètres. Le site du mausolée a été agrandi et aménagé avec un point de contrôle de l’immigration et un nouveau pont a été bâti. Depuis l’indépendance, très peu de Sikhs avaient eu la possibilité de se rendre à Kartarpur. 5 000 fidèles pourront désormais emprunter chaque jour le passage, avec un simple passeport, sans obligation de demander un visa. Le moment est d’autant plus important que le 12 novembre, les sikhs célébreront le 550e anniversaire de la naissance du gourou Nanak. Né en 1469, près de Lahore, Nanak a voyagé durant 20 ans avant de fonder au Pendjab une religion qui aspirait à dépasser l’hindouisme et l’islam. Il délivra à ses fidèles un message de tolérance, de paix et d’égalité entre les hommes. Communauté Sikh influente Narendra Modi doit saluer les pèlerins à leur départ d’Inde, avant le franchissement de la frontière, tandis qu’Imran Khan doit les accueillir à leur arrivée au mausolée. Parmi les pèlerins, l’ancien premier ministre indien Manmohan Singh, lui-même sikh. Je voudrais remercier le premier ministre du Pakistan Imran Khan pour son respect des sentiments de l’Inde. Je le remercie pour sa coopération », a affirmé Narendra Modi samedi, lors d’un discours dans la ville de Dera Baba Nanak peu avant l’ouverture prévue du corridor. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lapromesse divine du règne de mille ans de Jésus-Christ sur Terre symbolise l’espoir pour l’humanité tout entière. En étudiant les Saintes Écritures et en examinant les efforts visant à renverser cet enseignement, nous comprenons mieux notre monde et la promesse de paix associée au Royaume de Dieu. « Le loup habitera avec l'agneau

Sophie de Villeneuve Catholiques et orthodoxes, avons-nous les mêmes saints ?Michel Evdokimov Je prie saint François d'Assise, sainte Thérèse de Lisieux, saint Vincent de Paul… En Russie, on pourrait citer saint Séraphin de Sarov, saint Serge de Radonège… Un évêque russe, un métropolite, disait que les saints passent par dessus les murs qu'il y a entre nos Églises, et qu'ils se rejoignent les uns les autres. Je crois qu'il y a là quelque chose de très fort. À quoi servent les saints ? J'ai d'abord envie de vous dire qu'ils ne servent à rien ! Les hommes de ce monde sont soumis à la consommation, à l'argent, au travail, à des idées politiques… Les saints, eux, sont ailleurs. Ils ne servent à rien dans ce monde, mais ils portent ce monde dans leurs prières. Un saint qui a de la lumière dans le cœur illumine le vous, qu'est-ce que c'est qu'un saint ?M. E. Nous sommes tous appelés à la sainteté ! Si nous étions davantage ouverts à la grâce, si nous allions sur le chemin que Dieu a tracé dans notre vie, nous serions des saints, comme tous ces saints que je viens de citer et dont la sainteté dépasse l' saints, ce sont des hommes et des femmes qui ont tout quitté, qui se sont mis un peu à l'écart du monde ?M. E. Que veut dire tout quitter ? Un homme marié qui a une aventure en dehors de son ménage, lui aussi, quitte tout. Un moine du désert, Arsène, s'était retiré dans la solitude du désert. Il disait "Je suis coupé de tout, séparé de tous les hommes, et en même temps, je suis uni à tous les hommes." Il vivait pour le monde, il priait pour le monde. Nous ne prions pas pour le monde comme eux, parce que nous avons nos activités. Le saint, lui, donne tout son cœur, son corps, son âme, son esprit, son amour, dans l'œuvre que Dieu lui a demandé d' a-t-il des saints qui peuvent tout donner aussi dans la vie quotidienne, sans pour autant aller vivre dans le désert ?M. E. Bien entendu. Dans l'Évangile, prenez Marie-Madeleine. C'était une femme de mauvaise vie, et d'ailleurs Simon reprochait à Jésus de lui parler. Cette femme pleure sur les pieds de Jésus, elle verse un parfum sur ses pieds et les essuie avec ses cheveux. C'est une femme qui a changé. On pense trop souvent à l'aspect moral de la sainteté. Mais il ne s'agit pas de morale, du tout ! Il s'agit de se convertir, de changer, de se transformer, de se transfigurer. A partir du moment où elle a rencontré Jésus, Marie Madeleine devient chaste. Tout peut toujours basculer dans un sens ou dans un autre. C'est dans sa vie quotidienne que cette femme a vécu cette le saint, c'est celui qui change radicalement ?M. E. Le saint se convertit avec le secours de Dieu. Il ne change pas tout nous, qui n'avons pas changé comme nous le devrions, quel compagnonnage pouvons-nous avoir avec ces saints ?M. E. Ils ont vécu des choses proches de ce que nous vivons. Saint François d'Assise est un grand saint écologique. Il a dompté le loup de Gubbio, a prêché aux animaux… Par sa sainteté, son combat contre les passions, contre tout ce qui nous encombre dans notre vie, par son amour pour l'univers, il a retrouvé la pureté d'Adam au paradis. Les animaux sauvages, l'ours de saint Séraphin de Sarov, le loup de saint François, deviennent des animaux "gentils", proches des êtres humains. L'écologie, tout à fait estimable et même nécessaire, est bâtie sur un fondement matériel. Tandis qu'avec saint François, saint Séraphin, saint Jérôme, qui avait lié amitié avec un lion en lui arrachant une épine de la patte, la nature retrouve ce qu'elle était à un moment revient à l'état initial ?M. E. Oui. Nous sommes là pour retrouver cet état initial. C'est le but de notre vie faire que Jésus, l'Esprit saint, soient répandus dans le monde, dans le cœur des hommes… C'est ce qui nous est demandé. Mais il y a un grand mystère dans la sainteté, c'est qu'on ne reconnaît pas toujours les effet, les sœurs de Thérèse de Lisieux n'ont pas vu sa E. Oui, pour elles, il était impensable que Thérèse soit une sainte. De même saint Silouane pour ses frères du Mont Athos. Et le grand mystère, c'est que ces saints sont connus dans le monde entier. Lors d'une conférence que l'on m'avait demandé de faire sur sainte Thérèse, du point de vue orthodoxe, l'évêque Mgr Gaucher l'ancien évêque auxiliaire de Bayeux-Lisieux, ndlr m'a raconté avoir accompagné les reliques de Thérèse en Russie, jusqu'au fin fond de la Sibérie. Il était encore tout étonné de la foule immense de gens qui venaient se prosterner devant ces reliques. Même chose pour saint Silouane, qui n'avait jamais quitté son saints ont donc une aura particulière, un E. L'Esprit saint est en eux et rayonne tout autour d' saint orthodoxe du XXe siècle aimeriez-vous faire découvrir aux catholiques ?M. E. Un saint qui n'est pas encore canonisé le père Alexandre Men. Je crois que c'est un très grand saint. Pour moi, il y a encore deux autres grands saints de notre temps Dietrich Bonhoeffer, un pasteur protestant, et mère Teresa. Il y a des saints parmi nous. On ne les reconnaît pas toujours. Il faut pour cela un regard capable de discerner et de comprendre ce qui se regard capable de voir l'Esprit chez celui qui vous E. Oui, et qui est tout prêt à partager cet Esprit avec vous.
Ledocument le plus net est, cette fois-ci, dans le Yerouchalmi qui fait dire à Aher2 : « Un jour je chevauchai devant le Saint des Saints, un jour de Kippour tombant le Sabbat, et j'entendis une voix émanant du Saint des Saints et disant : « Revenez, enfants rebelles, à « l'exception d'Aher ! » Dans le Babli, la même histoire est racontée avec une variante subtile3. La voix sort
Ignace Leverrier. Ancien diplomate en poste dans plusieurs pays arabes du Maghreb et du Machreq. Chercheur arabisant. A contribué jadis à L’Etat du Monde, au Nouvel état du monde et au Dictionnaire historique et géopolitique du 20ème siècle La Découverte. Il a publié – Le Front Islamique du Salut entre la hâte et la patience » in Les Politiques de Dieu, G. Képel dir., Paris, Seuil, 1993, – Jordanie. Les Frères Musulmans et le jeu parlementaire » in L’Islamisme, Serge Cordellier dir., Paris, La Découverte, 1994, – L’Arabie saoudite, le pèlerinage et l’Iran » in Arabes et Iraniens, CEMOTI n° 22, Paris, 1996. Contributions concernant la Syrie – Les limites de la réinsertion de la Syrie dans le jeu régional » Mondes Emergents/Afrique du Nord Moyen-Orient 2010-2011, La Documentation Française, Paris 2010, – En Syrie aussi, la peur a commencé à changer de camp » Moyen-Orient, n° 10, avril-juin 2011, – Les Frères Musulmans syriens dans la révolution et dans la Syrie post-Bachar al-Assad » Moyen-Orient, n° 12, octobre-décembre 2011, – Syrie Scénarios pour une sortie de crise » Politique Internationale, n° 134, hiver 2011-2012, – Syrie, 2011. D’une société atomisée à une révolution organisée et citoyenne » Mondes Emergents/Afrique du Nord Moyen-Orient 2012-2013, La Documentation Française, Paris 2012 – La résistance du peuple syrien » Etudes, décembre 2012 – 2012 en Syrie l’année de l’épouvantail » Mondes Emergents/Afrique du Nord Moyen-Orient 2013-2014, La Documentation Française, Paris 2013. Lalapidation, lors de laquelle les fidèles jettent symboliquement des cailloux sur des stèles représentants Satan, est un moment à haut risque du grand pèlerinage annuel. Le 24 septembre Le blog de Gens d'OutremeuseBlog de l'Unité pastorale "Notre Dame des Ponts aux rives d'Outremeuse" à Liège/Outremeuse homélies, vie de nos paroisses, réflexions philosophiques, méditations, prières, etc. Accueil Contact Publié le 1 novembre 2010 par Gens d'Outremeuse Écoutez "Le monde attend le passage des saints" Bonne fête de Toussaint à tous ! Lephénomène est étrange : des fans en délire, des flashs de paparazzi qui crépitent, une retransmission mondiale Certains groupes de personnes, voire une société toute entière, se mettent à aduler une personne, non pas tant pour elle-même, mais pour leurs créations, leur image. Pour les plus grandes stars, ce qu’elles dégagent parvient à déplacer les foules, à International Israël/Palestine Deux des responsables d’attaques mortelles en Israël venaient du camp de réfugiés de cette cité du nord de la Cisjordanie. Depuis, l’armée y lance des raids quasi quotidiens. Read in English Article réservé aux abonnés Le camp de réfugiés de Jénine est étrangement calme. Les groupes armés palestiniens, puissants dans ces ruelles, se cachent. Le jeûne de ramadan assomme les habitants. L’attente des soldats israéliens use leurs nerfs. Depuis une semaine, l’armée lance des raids quasi quotidiens dans la grande cité du nord de la Cisjordanie, de préférence à l’aube et en périphérie du camp. Elle hésite à pénétrer le cœur de cet agglomérat de béton miséreux, où se serrent 33 000 descendants de réfugiés de la Nakba, le déplacement forcé de 700 000 Palestiniens à la création de l’Etat d’Israël, en 1948. Le gouvernement de Naftali Bennett a donné carte blanche aux militaires. Ils mènent des arrestations et font sentir leur présence, après une série de quatre attaques terroristes qui ont endeuillé les villes israéliennes depuis le 22 mars, faisant quatorze morts. Deux des assaillants sont originaires du camp de Jénine. D’une seule voix, leurs proches, l’Autorité palestinienne et l’armée considèrent qu’ils ont agi sans ordres, sans appuis ni réseaux. Ce sont des Palestiniens normaux, estime le gouverneur de Jénine, Akram Rajoub, des Palestiniens en colère, qui se sont sentis humiliés par Israël et qui ont réagi aux attaques quotidiennes de l’armée contre leur communauté. » Entre le 1er janvier et l’attentat du 22 mars, les soldats ont tué dix-huit civils en Cisjordanie, dont à Jérusalem-Est, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires OCHA de l’ONU. Trois d’entre eux menaient des attaques isolées contre des Israéliens. Une ville assiégée » M. Rajoub affirme que sa ville est aujourd’hui assiégée », victime d’une punition collective », qu’il assimile à du terrorisme ». L’armée a partiellement fermé le point de passage qui lie les territoires, occupés depuis 1967, aux cités arabes du nord d’Israël. Elle clôt, aux alentours, les trous dans le mur qui enserre la Cisjordanie. D’ordinaire, près de 20 000 habitants de Jénine y passent chaque jour pour travailler au noir en Israël. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Dans les rues de Jénine, un parfum de veillée d’armes Les autorités israéliennes accordent des laissez-passer aux travailleurs légaux, censés contribuer au calme. Elles autorisent aussi les femmes et les enfants à prier le vendredi sur les lieux saints de Jérusalem – mais pas les jeunes hommes. Pourtant, Jénine fait l’objet d’une pression particulière les marchands locaux et les touristes palestiniens citoyens d’Israël ne passent plus. D’ordinaire, ces derniers font vivre la ville. En ce mois de ramadan, ils lui manquent cruellement. L’iftar, la rupture du jeûne, est bien morne. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. 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